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Ah !Valentine quelle coquine !
Elle avait pour nom Valentine
Et sa douceur était divine
Je lui propose que l’on dîne
Tout était prêt dans la cuisine
Un petit foie gras en terrine
Un turbot en sauce homardine
Des sorbets à la clémentine
Un vin dont Reims est l’origine.
Mais un désir en moi chemine
N’indifférant pas la coquine
Que de mes lèvres je butine
Parlant de mon envie câline
Elle dit déjà je devine
Un fort début d’indiscipline
Et s’attardant sur ma poitrine
Votre bouche qui me lutine.
Commençons avant la terrine
Une préface féminine
La gourmandise masculine
S’égarant devient libertine
Et votre argument se destine
À l’attente qui récrimine
Une visite masculine
D’un doux voyageur qui chemine.
Un préambule se termine
Et la faim sur une tartine
Conduit le foie gras à la ruine
Le champagne nous illumine
Mais un nouveau désir la mine
Je développe ma doctrine
Et sur la table je l’incline
Puis tendrement je m’enracine.
Arrivés à la clémentine
Le feu se mettant en sourdine
Elle dit : rien ne se termine
Sans que relançant la machine
Ma rose vous emmagasine
À nouveau votre envie s’incline
À chercher la pose canine
Ou par paresse masculine
À faire que mon corps vous domine.
Je laissais œuvrer Valentine ?
Dont la technique était divine
Nous finîmes la douceur taquine
Les sens au bord de la ruine
Ma mâle ardeur se ratatine
Ce n’est rien me dit la coquine
Un somme répare ce qui décline.
Elle avait pour nom Valentine
Et sa douceur était divine
Je lui propose que l’on dîne
Tout était prêt dans la cuisine
Un petit foie gras en terrine
Un turbot en sauce homardine
Des sorbets à la clémentine
Un vin dont Reims est l’origine.
Mais un désir en moi chemine
N’indifférant pas la coquine
Que de mes lèvres je butine
Parlant de mon envie câline
Elle dit déjà je devine
Un fort début d’indiscipline
Et s’attardant sur ma poitrine
Votre bouche qui me lutine.
Commençons avant la terrine
Une préface féminine
La gourmandise masculine
S’égarant devient libertine
Et votre argument se destine
À l’attente qui récrimine
Une visite masculine
D’un doux voyageur qui chemine.
Un préambule se termine
Et la faim sur une tartine
Conduit le foie gras à la ruine
Le champagne nous illumine
Mais un nouveau désir la mine
Je développe ma doctrine
Et sur la table je l’incline
Puis tendrement je m’enracine.
Arrivés à la clémentine
Le feu se mettant en sourdine
Elle dit : rien ne se termine
Sans que relançant la machine
Ma rose vous emmagasine
À nouveau votre envie s’incline
À chercher la pose canine
Ou par paresse masculine
À faire que mon corps vous domine.
Je laissais œuvrer Valentine ?
Dont la technique était divine
Nous finîmes la douceur taquine
Les sens au bord de la ruine
Ma mâle ardeur se ratatine
Ce n’est rien me dit la coquine
Un somme répare ce qui décline.