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Alien
Je suis attaché par des sangles métalliques
Sur la table d'un étrange laboratoire
Près de moi, j'entrevois des objets mécaniques
Où suis-je, je ne le sais pas, c'est le trou noir.
Je commence à prendre peur, je perds conscience
Une douleur brutale, atroce me réveille
Un cri de douleur transperce le froid silence
Ma tête est en feu et un monstre me surveille.
J'aperçois soudain une entité xénomorphe
Un cauchemar vivant et l'horreur intégrale
Car il ne possède aucun trait anthropomorphe
Je ressens monter une panique ancestrale.
Armée de crocs, de griffes et queue acérée
Son crâne me paraît disproportionné
Ses bras d'insecte peuvent m'éviscérer
Et je suis totalement impressionné.
La créature me regarde avidement
Se penche et sa bouche lâche un jet bleu acide
Qui brûle la peau, les chairs, les vêtements
Aspirant les fluides de l'humanoïde !
Il me mange ! Je sens ses crocs me déchirer
Arracher de tendres, juteux morceaux de chair
Sa bouche est rouge de sang, ce sang aspiré
En de longs flots, pour lui, c’est un champ en jachère.
Il savoure et se délecte, un vrai gourmet
Prendre le temps de mâcher, digérer sa proie
Je crie de douleur, peu importe, désormais
Je connais mon sort, c’est finir en repas froid.
Soudain ! Un sursaut, un frisson, dans cet effroi
J’ouvre les yeux, je ne vois rien, le noir
Un noir total, je n’ai plus mal, je perds sang-froid
Et la vie, il me découpe à coup de hachoir !
Je suis attaché par des sangles métalliques
Sur la table d'un étrange laboratoire
Près de moi, j'entrevois des objets mécaniques
Où suis-je, je ne le sais pas, c'est le trou noir.
Je commence à prendre peur, je perds conscience
Une douleur brutale, atroce me réveille
Un cri de douleur transperce le froid silence
Ma tête est en feu et un monstre me surveille.
J'aperçois soudain une entité xénomorphe
Un cauchemar vivant et l'horreur intégrale
Car il ne possède aucun trait anthropomorphe
Je ressens monter une panique ancestrale.
Armée de crocs, de griffes et queue acérée
Son crâne me paraît disproportionné
Ses bras d'insecte peuvent m'éviscérer
Et je suis totalement impressionné.
La créature me regarde avidement
Se penche et sa bouche lâche un jet bleu acide
Qui brûle la peau, les chairs, les vêtements
Aspirant les fluides de l'humanoïde !
Il me mange ! Je sens ses crocs me déchirer
Arracher de tendres, juteux morceaux de chair
Sa bouche est rouge de sang, ce sang aspiré
En de longs flots, pour lui, c’est un champ en jachère.
Il savoure et se délecte, un vrai gourmet
Prendre le temps de mâcher, digérer sa proie
Je crie de douleur, peu importe, désormais
Je connais mon sort, c’est finir en repas froid.
Soudain ! Un sursaut, un frisson, dans cet effroi
J’ouvre les yeux, je ne vois rien, le noir
Un noir total, je n’ai plus mal, je perds sang-froid
Et la vie, il me découpe à coup de hachoir !