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Amour d’un été
Les longs étés sont là. Faut-il que m’en reviennent,
Au feu du souvenir, tes yeux enamourés.
Rends-moi ton doux parfum, entre nous deux si près,
Le chemin où tes doigts entre mes mains se tiennent.
Au lit du souvenir, nos corps aventurés
Confessent le secret des âmes anciennes ;
Et cet autre chemin où tes mains furent miennes,
Comme un dernier été, paraît encor si près.
Confesse-moi, Nature aux forces anciennes,
Protège-la, qui dort au creux de tes forêts
Qui rêve, l'Amoureuse, à l'heure des secrets,
Sous l’ombre parfumée où les aimés se tiennent.
Rends-moi celle qui dort près d’un autre, si près ;
Pour elle, j’ai caché mes larmes et ma peine.
Quand le chagrin des nuits rejoint l’image vaine,
Il ne reste qu’une ombre aux rêves éplorés…
Les longs étés sont là. Faut-il que m’en reviennent,
Au feu du souvenir, tes yeux enamourés.
Rends-moi ton doux parfum, entre nous deux si près,
Le chemin où tes doigts entre mes mains se tiennent.
Au lit du souvenir, nos corps aventurés
Confessent le secret des âmes anciennes ;
Et cet autre chemin où tes mains furent miennes,
Comme un dernier été, paraît encor si près.
Confesse-moi, Nature aux forces anciennes,
Protège-la, qui dort au creux de tes forêts
Qui rêve, l'Amoureuse, à l'heure des secrets,
Sous l’ombre parfumée où les aimés se tiennent.
Rends-moi celle qui dort près d’un autre, si près ;
Pour elle, j’ai caché mes larmes et ma peine.
Quand le chagrin des nuits rejoint l’image vaine,
Il ne reste qu’une ombre aux rêves éplorés…
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