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Peu connaissent l'amour quatre saisons,
Celui qui enivre, celui qui sourit.
Celui qui apprend, celui de la raison,
Celui des gestes, du langage qui nourrit.
Celui qui ne connaît pas d'horizon,
A chaque étape du chemin de la vie.
Le printemps
Au printemps de la vie,
C'est l'amour d'une mère,d'un père,
Celui des histoires, des berceuses en mélodie,
Aux mots, aux notes, perles de douceur.
Celui des sourires, des cajoleries,
C'est celui qui ne peut devenir naguère.
Pour certains, c’est l’amour qui punit,
Celui qui laisse des souvenirs amers,
Les marquant d’indélébiles stries.
L'été
Vient l'été, aux fraîches senteurs et sa chaleur
Le bel amour de jeunesse,
Celui qui a la primeur
D'embrasser le cœur en finesse,
L'amour des élans charmeurs,
Des sens quand ils se dressent,
Qui parfois s'éteint vite dans la froideur .
Pour certains, c’est l’amour traitresse,
Celui des stigmates de la déchirure.
L'automne
Soudain, l’automne arrive,
Avec lui, l’amour plein de sagesse,
Qui étend toutes ses couleurs vives,
Dans la largesse, sème l’allégresse,
Sur chacune de ses rives.
Pour certains, c’est l'amour tristesse,
L'amour de tous les tourments, de la dérive
Du navire d'une vie qui se bouleverse,
Celui vide des partages qui ravivent.
L'hiver
L'hiver, l’amour vieillesse,
Refuge de tous les amours.
Toujours plein de tendresse,
Témoin des beaux, des mauvais jours,
De souvenirs, de baisers de caresses .
Témoins vivant d'une longue histoire.
Celle qui n’a jamais connu la paresse.
Pour certains, c’est l'amour oublié,
De la solitude, de l'indifférence .
Celui de ceux qui n’ont pas aimés,
Celui de ceux qui n'ont pas su aimer !
Celui qui enivre, celui qui sourit.
Celui qui apprend, celui de la raison,
Celui des gestes, du langage qui nourrit.
Celui qui ne connaît pas d'horizon,
A chaque étape du chemin de la vie.
Le printemps
Au printemps de la vie,
C'est l'amour d'une mère,d'un père,
Celui des histoires, des berceuses en mélodie,
Aux mots, aux notes, perles de douceur.
Celui des sourires, des cajoleries,
C'est celui qui ne peut devenir naguère.
Pour certains, c’est l’amour qui punit,
Celui qui laisse des souvenirs amers,
Les marquant d’indélébiles stries.
L'été
Vient l'été, aux fraîches senteurs et sa chaleur
Le bel amour de jeunesse,
Celui qui a la primeur
D'embrasser le cœur en finesse,
L'amour des élans charmeurs,
Des sens quand ils se dressent,
Qui parfois s'éteint vite dans la froideur .
Pour certains, c’est l’amour traitresse,
Celui des stigmates de la déchirure.
L'automne
Soudain, l’automne arrive,
Avec lui, l’amour plein de sagesse,
Qui étend toutes ses couleurs vives,
Dans la largesse, sème l’allégresse,
Sur chacune de ses rives.
Pour certains, c’est l'amour tristesse,
L'amour de tous les tourments, de la dérive
Du navire d'une vie qui se bouleverse,
Celui vide des partages qui ravivent.
L'hiver
L'hiver, l’amour vieillesse,
Refuge de tous les amours.
Toujours plein de tendresse,
Témoin des beaux, des mauvais jours,
De souvenirs, de baisers de caresses .
Témoins vivant d'une longue histoire.
Celle qui n’a jamais connu la paresse.
Pour certains, c’est l'amour oublié,
De la solitude, de l'indifférence .
Celui de ceux qui n’ont pas aimés,
Celui de ceux qui n'ont pas su aimer !
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