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Un petit texte écrit sous influence de la morosité actuelle, la Corne’ vide, et les tororistes.
Je m’suis souve’nu de cette histoire,
Charnu taureau reproducteur,
Connu sous le nom d’Archibald,
De toutes les vaches remuait le cœur.
La jeune Blanquette rêvait de lui,
Fers barbelés les séparait,
Lançait jolis « meuh meuh » choisis,
Sur elle le membré fantasmait.
Si tu me veux autant que ça ?
Prends ton élan, sautes par-dessus,
Mon aloyau sera à toi,
Regardes Chéri ! Comme c’est charnu.
Le beau- bovin trop excité
Lui meugle « ma belle, prépares- toi,
Crois- moi je n’vais pas te rater,
Vais les calmer tous tes émois ».
Rambo recule, prend son élan,
Frotte juste au-d’ssous de son poitrail,
Retombe au sol dans un grand «pan »,
Il est trop fort pas même fait « aïe ».
« Tu es sans peur, mon Archibald ! »
Vachette admirative lui dit.
« Je viens d’y laisser mes deux balles
Tu peux mainte’nant m’app’ler Archi. »
Je m’suis souve’nu de cette histoire,
Charnu taureau reproducteur,
Connu sous le nom d’Archibald,
De toutes les vaches remuait le cœur.
La jeune Blanquette rêvait de lui,
Fers barbelés les séparait,
Lançait jolis « meuh meuh » choisis,
Sur elle le membré fantasmait.
Si tu me veux autant que ça ?
Prends ton élan, sautes par-dessus,
Mon aloyau sera à toi,
Regardes Chéri ! Comme c’est charnu.
Le beau- bovin trop excité
Lui meugle « ma belle, prépares- toi,
Crois- moi je n’vais pas te rater,
Vais les calmer tous tes émois ».
Rambo recule, prend son élan,
Frotte juste au-d’ssous de son poitrail,
Retombe au sol dans un grand «pan »,
Il est trop fort pas même fait « aïe ».
« Tu es sans peur, mon Archibald ! »
Vachette admirative lui dit.
« Je viens d’y laisser mes deux balles
Tu peux mainte’nant m’app’ler Archi. »