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<< Au fil du Temps moqueur >>
(à ma femme)
La beauté de ton corps m'ensorcelle les yeux,
Rivalise d'efforts contre un Temps fallacieux,
Pour demeurer encor et toujours avec grâce...
La bonté de ton coeur ne peut point se faner,
Une rose d'humeur qu'il fait bon de flâner,
Sur la courbe du Temps, épargnée de disgrâce...
Mes yeux te sont acquis, tout autant que mon coeur,
Les rides sur ton front, l'arrondi de tes hanches,
Loin de me faire affront, révèlent ta peau blanche,
A mes sens éblouis par tes accroche-cœurs.
Ton corps ira changeant, au fil du Temps moqueur,
Et le fard dérangeant dans lequel se retranche,
L'orgueil de ta beauté qui souvent s'endimanche,
En se poudrant le nez ressortira vainqueur !
20 août 2021
(à ma femme)
La beauté de ton corps m'ensorcelle les yeux,
Rivalise d'efforts contre un Temps fallacieux,
Pour demeurer encor et toujours avec grâce...
La bonté de ton coeur ne peut point se faner,
Une rose d'humeur qu'il fait bon de flâner,
Sur la courbe du Temps, épargnée de disgrâce...
Mes yeux te sont acquis, tout autant que mon coeur,
Les rides sur ton front, l'arrondi de tes hanches,
Loin de me faire affront, révèlent ta peau blanche,
A mes sens éblouis par tes accroche-cœurs.
Ton corps ira changeant, au fil du Temps moqueur,
Et le fard dérangeant dans lequel se retranche,
L'orgueil de ta beauté qui souvent s'endimanche,
En se poudrant le nez ressortira vainqueur !
20 août 2021
