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Deuxième acrostiche tiré d'un vers de EricB
La maison des adieux
(avec son autorisation et je l'en remercie)
A ujourd'hui la maison me semble toujours vide
U ne hirondelle y élève sa nichée
J e repense à tous ces petits rires d'autrefois
O ù à tous ces jeux enfantins qui l'habitaient
U n chat, un chien faisaient la course
R ien, plus aucun bruit que ces doux piaillements
D ans mes oreilles une douce musique
H ier le piano de ma grand mère résonnait
U ne mélodie qui berça mon cœur d'enfant
I l en reste de merveilleux souvenirs
L a cinquième marche grince toujours
A lors que discrètement je la sautais
M a grand mère me disait
A cette heure ci tu devrais être couchée
I l y avait en moi tant d'ingénuité
S a grande bonté me pardonnait
O h! Que je lui en ai fait voir
N attirant jamais son courroux
M aintenant que je suis mamy
E t que je repense à elle
S ur mes joues coule la pluie
E n une rivière de douces larmes
M élancolie d'un doux parfum
B eauté de son doux regard
L e soleil brillait dans ses cheveux
E t j'entends toujours sa canne sur le sol
T endres souvenirs d'un passé révolu
O ù mes rêves encore abondent
U n jour je sais que j'y retournerai
J e foulerai ce carrelage rustique
O ù tant de pas l'ont usé
U ne à une je grimperai les marches
R ien que pour entendre la cinquième
S ouvenirs, oh ! que de beaux souvenirs
V ide, est cette maison dans mon esprit
I l n'y a même plus le tic tac de la comtoise
D ans mon cœur elle reste si pleine
E t pourtant elle me semble si vide
La maison des adieux
(avec son autorisation et je l'en remercie)
A ujourd'hui la maison me semble toujours vide
U ne hirondelle y élève sa nichée
J e repense à tous ces petits rires d'autrefois
O ù à tous ces jeux enfantins qui l'habitaient
U n chat, un chien faisaient la course
R ien, plus aucun bruit que ces doux piaillements
D ans mes oreilles une douce musique
H ier le piano de ma grand mère résonnait
U ne mélodie qui berça mon cœur d'enfant
I l en reste de merveilleux souvenirs
L a cinquième marche grince toujours
A lors que discrètement je la sautais
M a grand mère me disait
A cette heure ci tu devrais être couchée
I l y avait en moi tant d'ingénuité
S a grande bonté me pardonnait
O h! Que je lui en ai fait voir
N attirant jamais son courroux
M aintenant que je suis mamy
E t que je repense à elle
S ur mes joues coule la pluie
E n une rivière de douces larmes
M élancolie d'un doux parfum
B eauté de son doux regard
L e soleil brillait dans ses cheveux
E t j'entends toujours sa canne sur le sol
T endres souvenirs d'un passé révolu
O ù mes rêves encore abondent
U n jour je sais que j'y retournerai
J e foulerai ce carrelage rustique
O ù tant de pas l'ont usé
U ne à une je grimperai les marches
R ien que pour entendre la cinquième
S ouvenirs, oh ! que de beaux souvenirs
V ide, est cette maison dans mon esprit
I l n'y a même plus le tic tac de la comtoise
D ans mon cœur elle reste si pleine
E t pourtant elle me semble si vide
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