- Inscrit
- 19 Octobre 2018
- Messages
- 3,495
- J'aime
- 6,087
- Points
- 173
- Age
- 85
- Localité
- Orléans
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Aux compteurs de l'état qui ne sont que conteurs
(Un songe me devrais-je inquieter d'un songe
m'incite à critiquer un présent qui nous ronge.)
Avant de s'acharner sur les gagne-petits
Il faudrait préciser où règne l'excessif
Afficher clairement les gains prohibitifs
Des politicailleurs de divers acabits.
Dire les revenus des artistes divers
Qui sans excès d'usure entassent leurs euros
Et qui sans bruit dépensent leur pléthorique magot
Abusifs Crésus mais sachant bien le taire.
Trouver tous ces salaires allant aux sinécures
Et les faiseurs de rien parasitant l'état
Les gains de nuls besoins qui jamais sur le tas
D'un utile travail ne montrèrent l'usure.
Chasser les malfaisants les exploiteurs de failles
Qui profitent de lois ne couvrant jamais tout
Leur dire clairement qu'ils inspirent du dégout
Donner leur tire-lire au monde du travail.
Qui gagne honnetement le fruit de son mérite
Ne doit pas supporter les dissimulateurs
Si l'argent comme on dit ne fait pas le bonheur
Son manque injustifié mérite qu'on l'évite.
C'est assez des filous, néfastes et menteurs
Qui méprisent ceux qui ont un travail honnête.
À gerer les finances il faudrait une tête
Qui au juste travail donne juste valeur.
Et plus que les discours des élus sans crupules
Devraient bien avouer où est leur interet Les partis politiques sont devenus abstraits Sur de vaines promesses ils font les funambules.
Il faut aux politiques des tests probatoires
Et ne pas conserver des hordes incapables
L'électeur ne peut être de mauvais choix coupable
Si les média colportent des menteurs les histoires;
Et puisque la justice absout les sots d'avance
Qu'elle vire les tueurs d'ancienne prospérité.
En laissant des coupables en toute liberté
Il lui faudra un jour subir des remontrances.
Car depuis quelques temps elle oublie la morale
On vole on tue on blesse en toute tolérance
Les peines sont minimes bancale est la balance
Et maintes récidives sont devenues normales.
O temps suspend ton vol et purge notre France
De ces malédictions qui forgent nos malheurs
Élimine les élus qui ne sont agisseurs
Un équilibre juste est notre seule chance.
Enfin combien faut-il de partis politiques
Pour ne plus écouter tant de stupidités
Il faut les ramener à moindre quantité
Leur excés on le voit se montre maléfique!
Être pour etre contre est un jeu d'imbéciles
Et plethore d'avis est père d'immobilisme
L'exces d'avis contraires engendrant l'anarchisme
Se tromper de pouvoir est acte de débiles.
(Un songe me devrais-je inquieter d'un songe
m'incite à critiquer un présent qui nous ronge.)
Avant de s'acharner sur les gagne-petits
Il faudrait préciser où règne l'excessif
Afficher clairement les gains prohibitifs
Des politicailleurs de divers acabits.
Dire les revenus des artistes divers
Qui sans excès d'usure entassent leurs euros
Et qui sans bruit dépensent leur pléthorique magot
Abusifs Crésus mais sachant bien le taire.
Trouver tous ces salaires allant aux sinécures
Et les faiseurs de rien parasitant l'état
Les gains de nuls besoins qui jamais sur le tas
D'un utile travail ne montrèrent l'usure.
Chasser les malfaisants les exploiteurs de failles
Qui profitent de lois ne couvrant jamais tout
Leur dire clairement qu'ils inspirent du dégout
Donner leur tire-lire au monde du travail.
Qui gagne honnetement le fruit de son mérite
Ne doit pas supporter les dissimulateurs
Si l'argent comme on dit ne fait pas le bonheur
Son manque injustifié mérite qu'on l'évite.
C'est assez des filous, néfastes et menteurs
Qui méprisent ceux qui ont un travail honnête.
À gerer les finances il faudrait une tête
Qui au juste travail donne juste valeur.
Et plus que les discours des élus sans crupules
Devraient bien avouer où est leur interet Les partis politiques sont devenus abstraits Sur de vaines promesses ils font les funambules.
Il faut aux politiques des tests probatoires
Et ne pas conserver des hordes incapables
L'électeur ne peut être de mauvais choix coupable
Si les média colportent des menteurs les histoires;
Et puisque la justice absout les sots d'avance
Qu'elle vire les tueurs d'ancienne prospérité.
En laissant des coupables en toute liberté
Il lui faudra un jour subir des remontrances.
Car depuis quelques temps elle oublie la morale
On vole on tue on blesse en toute tolérance
Les peines sont minimes bancale est la balance
Et maintes récidives sont devenues normales.
O temps suspend ton vol et purge notre France
De ces malédictions qui forgent nos malheurs
Élimine les élus qui ne sont agisseurs
Un équilibre juste est notre seule chance.
Enfin combien faut-il de partis politiques
Pour ne plus écouter tant de stupidités
Il faut les ramener à moindre quantité
Leur excés on le voit se montre maléfique!
Être pour etre contre est un jeu d'imbéciles
Et plethore d'avis est père d'immobilisme
L'exces d'avis contraires engendrant l'anarchisme
Se tromper de pouvoir est acte de débiles.
