Hors ligne
Aux épiés de la vie moderne, qui se braquent, inquiets, contre les destins rigides,
Inhumains et manipulés de langues-cages, façonnés du penser-carré d'autres séquestrés.
Sous le feu des affreux brandisseurs de plan, leurs empathies en bouillies inutiles,
Dégoulinent d'inassouvis et se répandent, fatalement, dégeulassent l'envers de leurs envies.
A ces épiés de toujours, qui ne trouvent de contours à leurs informités,
Qui dans le mal-Être pataugent à l'écart, distillent le noir des chaques soirs,
Et le vomissent, silencieux de douleurs, incapables de digérer leurs impropres contradictions.
Fouettés de spasmes, assauts après assauts, leurs regrets dégouttent, et s'immiscent méticuleux,
Grandissent de la paresse d'affronter et lentement remplacent la substance de leurs réalités
En une mélasse de tristesse, insoluble et étouffante: Voilà le cauchemar,
La face cachée des théories de l'évolution en bout de ligne.
Le poison quotidien de ceux qui sont oisifs de l'Instant, qui sourd jusqu'au vide,
Et Remplit des gouttes du Loisir, leurs rétines aveuglées par les écrans,
Pour ne pas avoir à aller voir jusqu'en face que son Système décadent a la superficialité autoritaire,
Et que certains en sont exclus/s'en excluent par flemme d'être dans le tourbillon de l'avenir...
Voilà la description d'un peuple entier assailli par les souterrains de lassitudes,
Recroquevillés dans l'apparence d'abondance, confortable de consommation d'Oubli,
Errévées de l'intérieur factice que l'on s'achète aux regards pour ne pas être dérangé,
Parce que c'est usant d'être affairé à réaliser ses désirs, et qu'à l'école-sublimale,
C'est ce qu'il est d'usage d'apprendre comme leçon, Cependant qu'on n'en déserte, ou pas, les ban(c)s,
"Il faut accorder ses ambitions aux tourments de l'impossible",
Comme le veut, impérieuse, la Raison de notre Temps.
2014 (protégé par droits d'auteur)
Inhumains et manipulés de langues-cages, façonnés du penser-carré d'autres séquestrés.
Sous le feu des affreux brandisseurs de plan, leurs empathies en bouillies inutiles,
Dégoulinent d'inassouvis et se répandent, fatalement, dégeulassent l'envers de leurs envies.
A ces épiés de toujours, qui ne trouvent de contours à leurs informités,
Qui dans le mal-Être pataugent à l'écart, distillent le noir des chaques soirs,
Et le vomissent, silencieux de douleurs, incapables de digérer leurs impropres contradictions.
Fouettés de spasmes, assauts après assauts, leurs regrets dégouttent, et s'immiscent méticuleux,
Grandissent de la paresse d'affronter et lentement remplacent la substance de leurs réalités
En une mélasse de tristesse, insoluble et étouffante: Voilà le cauchemar,
La face cachée des théories de l'évolution en bout de ligne.
Le poison quotidien de ceux qui sont oisifs de l'Instant, qui sourd jusqu'au vide,
Et Remplit des gouttes du Loisir, leurs rétines aveuglées par les écrans,
Pour ne pas avoir à aller voir jusqu'en face que son Système décadent a la superficialité autoritaire,
Et que certains en sont exclus/s'en excluent par flemme d'être dans le tourbillon de l'avenir...
Voilà la description d'un peuple entier assailli par les souterrains de lassitudes,
Recroquevillés dans l'apparence d'abondance, confortable de consommation d'Oubli,
Errévées de l'intérieur factice que l'on s'achète aux regards pour ne pas être dérangé,
Parce que c'est usant d'être affairé à réaliser ses désirs, et qu'à l'école-sublimale,
C'est ce qu'il est d'usage d'apprendre comme leçon, Cependant qu'on n'en déserte, ou pas, les ban(c)s,
"Il faut accorder ses ambitions aux tourments de l'impossible",
Comme le veut, impérieuse, la Raison de notre Temps.
2014 (protégé par droits d'auteur)
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