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Cœur qui médite...
Il est des âmes d’ombre et des cœurs en sommeil
Des hommes dont l’espoir n’est qu’une longue attente
L’esprit toujours déçu la pensée peu ardente
N’ayant pas de raison de rester en éveil.
Il est des femmes douces enfermant un soleil
Dont la séduction devient si évidente
Que leur féminité tendrement argumente
Exerçant sur l’amant un attrait sans pareil.
Et l’étincelle au cœur ils découvrent l’envie
De rattacher l’amour aux cordons de leur vie
Se livrant en entier au profond sentiment
Puis la réalité devient vaporeux songe,
La vie les fait aimer avec acharnement
Souffrant avec bonheur de l‘amour qui les ronge.
Lassitude des corps, paresse des esprits,
Parfois le cœur attend son feu complémentaire
Le charme qui séduit et qui persiste à plaire
Est une exception dont l’amour est le prix.
Le destin, bien souvent de l’homme peu compris,
Éclate sur l’étoc la vague salutaire
Deux âmes s’accordant au même imaginaire
Par l’unisson des sens ont leur futur écrit.
Le poète n’en peut expliquer la brûlure,
S'y perd le philosophe en quelque conjecture
Mais l’amour est mystère autant que passion
Il faut s’y résigner l’attirance capable
De créer des bonheurs sans limitation
Hors de toute raison est chose inexplicable.
Il est des âmes d’ombre et des cœurs en sommeil
Des hommes dont l’espoir n’est qu’une longue attente
L’esprit toujours déçu la pensée peu ardente
N’ayant pas de raison de rester en éveil.
Il est des femmes douces enfermant un soleil
Dont la séduction devient si évidente
Que leur féminité tendrement argumente
Exerçant sur l’amant un attrait sans pareil.
Et l’étincelle au cœur ils découvrent l’envie
De rattacher l’amour aux cordons de leur vie
Se livrant en entier au profond sentiment
Puis la réalité devient vaporeux songe,
La vie les fait aimer avec acharnement
Souffrant avec bonheur de l‘amour qui les ronge.
Lassitude des corps, paresse des esprits,
Parfois le cœur attend son feu complémentaire
Le charme qui séduit et qui persiste à plaire
Est une exception dont l’amour est le prix.
Le destin, bien souvent de l’homme peu compris,
Éclate sur l’étoc la vague salutaire
Deux âmes s’accordant au même imaginaire
Par l’unisson des sens ont leur futur écrit.
Le poète n’en peut expliquer la brûlure,
S'y perd le philosophe en quelque conjecture
Mais l’amour est mystère autant que passion
Il faut s’y résigner l’attirance capable
De créer des bonheurs sans limitation
Hors de toute raison est chose inexplicable.
