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Barbe bleue, revue et corrigée !
Perrault n’a pas tout dit sur le barbu bleui.
Certes il ne voulait pas d’une femme indiscrète
Mais sa dernière dit-on n’eut pas le sort décrit.
De celles qui pendaient en sa pièce secrète.
Marple, ou Agatha ou peut-être Herculine,
Son prénom est étrange et il m’échappe un peu
Avait vu les experts et étant fort maligne
Alla dans le cachot du vilain au poil bleu
Elle avait mis des gants, garda son ADN,
Ne marqua nullement son indiscrétion
Avec un fil de fer en dégageant le pêne
Elle fit une clé, pour l’exploration.
Lors pour venger les ex de son poilu mari
Étant assez habile à manier la farine
Elle fit des brioches des pains, des clafoutis
Dont l’aromatisant était de la strychnine.
La barbe en oublia ses méchantes manies
Et perdit l’habitude de tuer à tout-va,
Il fut incinéré, les recherches taries
Ne purent accuser la main qui saupoudra.
Puis la veuve héritant d’un assez beau pécule
Chercha un fiancé choisi sur internet
Un qui, à étriper, aurait quelque scrupule
Assez affectueux, sachant faire la fête.
Comme il était sportif aimant la gymnastique
Il l’incita à suivre une forte cadence
Elle eut des courbatures, pour soigner son physique
Et voulut un kiné traitant sa décadence.
Anne qui était masseur un jour la vit venir
Lui disant j’ai le dos qui cause mon émoi
Faites cesser ce mal qui me fait trop souffrir
Mon articulation sans cesse me déçoit.
Guérie par ses massages elle pensa soudain
Qu’Anne de son amant obtenait des bontés
Et refit des gâteaux, habile de sa main,
De Strychnine poudra des biscuits pour le thé.
On ne la trompa plus ou l’on en décédait ;
Puis d’un nouvel amant Elle vécut heureuse
Son talent d’alchimiste avec art s’exerçait
Elle eut beaucoup d’écus en tant qu’empoisonneuse.
On m’a dit récemment que pour une simple pomme
Trempée dans un poison ou alors une poire
Elle prenait vingt écus une coquette somme
L’on mourait illico d’une fin péremptoire
Une sorcière un jour ayant un vil projet
Lui a pris une pomme à la saveur mortelle
Pour une Blanche beauté chez des nains en forêt
Je n’en dirai pas plus, mais on sauva la belle.
Perrault n’a pas tout dit sur le barbu bleui.
Certes il ne voulait pas d’une femme indiscrète
Mais sa dernière dit-on n’eut pas le sort décrit.
De celles qui pendaient en sa pièce secrète.
Marple, ou Agatha ou peut-être Herculine,
Son prénom est étrange et il m’échappe un peu
Avait vu les experts et étant fort maligne
Alla dans le cachot du vilain au poil bleu
Elle avait mis des gants, garda son ADN,
Ne marqua nullement son indiscrétion
Avec un fil de fer en dégageant le pêne
Elle fit une clé, pour l’exploration.
Lors pour venger les ex de son poilu mari
Étant assez habile à manier la farine
Elle fit des brioches des pains, des clafoutis
Dont l’aromatisant était de la strychnine.
La barbe en oublia ses méchantes manies
Et perdit l’habitude de tuer à tout-va,
Il fut incinéré, les recherches taries
Ne purent accuser la main qui saupoudra.
Puis la veuve héritant d’un assez beau pécule
Chercha un fiancé choisi sur internet
Un qui, à étriper, aurait quelque scrupule
Assez affectueux, sachant faire la fête.
Comme il était sportif aimant la gymnastique
Il l’incita à suivre une forte cadence
Elle eut des courbatures, pour soigner son physique
Et voulut un kiné traitant sa décadence.
Anne qui était masseur un jour la vit venir
Lui disant j’ai le dos qui cause mon émoi
Faites cesser ce mal qui me fait trop souffrir
Mon articulation sans cesse me déçoit.
Guérie par ses massages elle pensa soudain
Qu’Anne de son amant obtenait des bontés
Et refit des gâteaux, habile de sa main,
De Strychnine poudra des biscuits pour le thé.
On ne la trompa plus ou l’on en décédait ;
Puis d’un nouvel amant Elle vécut heureuse
Son talent d’alchimiste avec art s’exerçait
Elle eut beaucoup d’écus en tant qu’empoisonneuse.
On m’a dit récemment que pour une simple pomme
Trempée dans un poison ou alors une poire
Elle prenait vingt écus une coquette somme
L’on mourait illico d’une fin péremptoire
Une sorcière un jour ayant un vil projet
Lui a pris une pomme à la saveur mortelle
Pour une Blanche beauté chez des nains en forêt
Je n’en dirai pas plus, mais on sauva la belle.
