Hors ligne
Marin met le cap sur les îles.
Va droit vers le ponant.
Cet endroit, me semble étonnant.
Regarde ici cette magnifique presqu’île.
Par-dessus les mâts, les goélands tournoient dans le ciel,
Tandis que dans la mer d’un bleu sombre,
Les dauphins suivent le bateau et son ombre.
Je me perds dans mes idées en pensant à ta peau couleur miel.
Mais il me faut absolument partir
Pour sans nul doute revenir.
C’est d’une telle évidence,
Même si j’aurais le mal du pays.
Dans mes rêves, toi la France
Prend une grande importance.
Tes eaux, couleur turquoise,
Me font penser aux yeux de Françoise,
Ma brune qui m’attend au pays des brumes
Qui se chope toujours des rhumes.
Et, ne cesse de bondir,
Lorsqu’elle aperçoit mon trois mâts surgir
Du fin fond de l’horizon
Avec sa longue vue d’aigle ou de faucon.
Va droit vers le ponant.
Cet endroit, me semble étonnant.
Regarde ici cette magnifique presqu’île.
Par-dessus les mâts, les goélands tournoient dans le ciel,
Tandis que dans la mer d’un bleu sombre,
Les dauphins suivent le bateau et son ombre.
Je me perds dans mes idées en pensant à ta peau couleur miel.
Mais il me faut absolument partir
Pour sans nul doute revenir.
C’est d’une telle évidence,
Même si j’aurais le mal du pays.
Dans mes rêves, toi la France
Prend une grande importance.
Tes eaux, couleur turquoise,
Me font penser aux yeux de Françoise,
Ma brune qui m’attend au pays des brumes
Qui se chope toujours des rhumes.
Et, ne cesse de bondir,
Lorsqu’elle aperçoit mon trois mâts surgir
Du fin fond de l’horizon
Avec sa longue vue d’aigle ou de faucon.