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Poème Cela commence toujours par un corps en éveil...

Peniculo

Grand poète
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19 Octobre 2018
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#1
Cela commence toujours par un corps en éveil...


Je me laissais guider vers plus de connaissances
Étudiant studieux acquérant belle aisance
Je suivais mes envies avec délicatesse
Et mon feu sut freiner l’élan de mes caresses
Car délicatement l’amoureuse savante
Enrichit lentement mes amours débutantes.
Incité plaisamment ou freiné quelques fois
Je dus suivre l’élan des utiles émois
Et osant des effets qui dormaient en mes rêves
J’appris l’intensité d’alternatives trêves.


La dame didactique aimant mes aptitudes
Décréta qu’il fallait une suite aux préludes
En disant que la hâte offre un plaisant effet
Si les deux voluptés sont proches du sommet.
Était elle étonnée de mes débuts ardents
De faire que son désir soit au mien concordant
Et que l’obéissance aux attentes sensuelles
Réponde à ses besoins de douceurs corporelles
Je ne saurai le dire mais par la récidive
Du temps prémédité nous passâmes les rives

Hélas le cinq à set dépassé amplement
Je quittai son logis vers onze heures seulement.
Espérant du partage acquérir le pouvoir
Je me rendis souvent parfaire mon savoir
La dame complaisante estimant mes efforts
Me mit vite au service des envies de son corps
Et n’étant attachés que lors de nos présences
Nul sentiment puissant créait la dépendance
De l’envie provisoire au désir permanent
Le corps nous limitait au charnel sentiment.


D’échanges bien menés elle prit l’habitude
D’exploiter mes efforts au cours de mes études
Et n’ayant du physique que notre dictature
Nous restions attentifs aux communes luxures
Ainsi sans grand souci de conquêtes diverses
Nos échanges charnels ne subirent pas d’averses
Jusqu’au jour où la fin de mon enseignement
Ne put hélas se faire que par l’éloignement.
Il y eut un temps mort puis lors de mes vacances
Je retrouvai les feux de la concupiscence.

J’avais quelques talents issus de ma pratique
Qui plurent à quelques filles aux attentes physiques
Et puis le changement me fit voir sans attendre
Qu’il fallait commencer par une approche tendre
Car l’idéal issue des plaisirs combinés
Commence par l’accord ensemble deviné.







 

Peniculo

Grand poète
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#2
Ce texte avait un début qui, mystère, mon imprimante grignota aveuglément:
moralité : il faut imprimer verso + recto;


Je dois vous confesser quelques débuts coupables
à cause d’une voisine au charme redoutable
et qui de ma jeunesse usa habilement
un jour où ma nature montrait mon sentiment
la dame aimait le thé et dit venez chez moi
goûter de cinq à sept vos débutants émois
vêtue de transparence elle m’ouvrit son huis
je n’en sortis ravis qu’un peu avant minuit
J’avais des idées certes sur les plaisirs des corps
mais la pratique venant couronner mes efforts


Je me laissais guider vers plus de connaissances
Étudiant studieux acquérant belle aisance
Je suivais mes envies avec délicatesse
Et mon feu sut freiner l’élan de mes caresses
Car délicatement l’amoureuse savante
Enrichit lentement mes amours débutantes.
Incité plaisamment ou freiné quelques fois
Je dus suivre l’élan des utiles émois
Et osant des effets qui dormaient en mes rêves
J’appris l’intensité d’alternatives trêves.

La dame didactique aimant mes aptitudes
Décréta qu’il fallait une suite aux préludes
En disant que la hâte offre un plaisant effet
Si les deux voluptés sont proches du sommet.
Était elle étonnée de mes débuts ardents
De faire que son désir soit au mien concordant
Et que l’obéissance aux attentes sensuelles
Réponde à ses besoins de douceurs corporelles
Je ne saurai le dire mais par la récidive
Du temps prémédité nous passâmes les rives

Hélas le cinq à set dépassé amplement
Je quittai son logis vers onze heures seulement.
Espérant du partage acquérir le pouvoir
Je me rendis souvent parfaire mon savoir
La dame complaisante estimant mes efforts
Me mit vite au service des envies de son corps
Et n’étant attachés que lors de nos présences
Nul sentiment puissant créait la dépendance
De l’envie provisoire au désir permanent
Le corps nous limitait au charnel sentiment.

D’échanges bien menés elle prit l’habitude
D’exploiter mes efforts au cours de mes études
Et n’ayant du physique que notre dictature
Nous restions attentifs aux communes luxures
Ainsi sans grand souci de conquêtes diverses
Nos échanges charnels ne subirent pas d’averses
Jusqu’au jour où la fin de mon enseignement
Ne put hélas se faire que par l’éloignement.
Il y eut un temps mort puis lors de mes vacances
Je retrouvai les feux de la concupiscence.

J’avais quelques talents issus de ma pratique
Qui plurent à quelques filles aux attentes physiques
Et puis le changement me fit voir sans attendre
Qu’il fallait commencer par une approche tendre
Car l’idéal issue des plaisirs combinés
Commence par l’accord ensemble deviné.

Je deviens un "Ménalque" et oubliant des vers
j'ai la plume en été le cerveau en hiver.
faut cesser l'apéro et ne boire que de l'eau !!!
 
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