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Hors ligne
J'ai repris avec humilité ce très vieux poème que j'écrivis à l'adolescence suite à ma 1ère déception amoureuse....
Je ne sais pas comment te dire
Ce qui se passe au fond de moi.
Je peux tout juste te l’écrire
Et si je tremble quelquefois
C’est que tes yeux sont sur ma vie
Sur mes lèvres, sur mes pensées,
Dans la douleur qui m’envahit
Au souvenir des mains tressées.
Ma tête éclate et s’ensoleille
Chaque pulsation de l’instant.
Je songe à toi dès le réveil
Et bien avant le plus souvent.
Ma main ne quitte plus ta main,
Je vois ton rire en chaque femme.
L’exhalaison de nos refrains
Suscite une aube au fond de l’âme
Où je t’appelle et te recrée.
Demain se lèveront des jours
Emplis de joies enamourées
Je te reparlerai d’amour
Qui chante et danse où tu souris
Qui vibre et bat où tu palpites
Dans le tressaillement des cris,
Du feu des corps qui nous habite !
Je ne sais pas comment te dire,
Je ne sais pas, je ne sais pas.
J’ai perdu les fils de ma lyre
Qui s’illuminaient sous tes doigts.
Mon rêve en tes yeux s’est brisé
Comme un vaisseau sans retenue
Dans le tourment des alizés
Et l’océan des heures nues.
Que ne recherchons-nous l’espoir…
Si le passé suit son destin,
Si le présent fuit notre histoire,
Le temps s’efface et puis s’éteint…
Je ne sais pas comment te dire
Ce qui se passe au fond de moi.
Je peux tout juste te l’écrire
Et si je tremble quelquefois
C’est que tes yeux sont sur ma vie
Sur mes lèvres, sur mes pensées,
Dans la douleur qui m’envahit
Au souvenir des mains tressées.
Ma tête éclate et s’ensoleille
Chaque pulsation de l’instant.
Je songe à toi dès le réveil
Et bien avant le plus souvent.
Ma main ne quitte plus ta main,
Je vois ton rire en chaque femme.
L’exhalaison de nos refrains
Suscite une aube au fond de l’âme
Où je t’appelle et te recrée.
Demain se lèveront des jours
Emplis de joies enamourées
Je te reparlerai d’amour
Qui chante et danse où tu souris
Qui vibre et bat où tu palpites
Dans le tressaillement des cris,
Du feu des corps qui nous habite !
Je ne sais pas comment te dire,
Je ne sais pas, je ne sais pas.
J’ai perdu les fils de ma lyre
Qui s’illuminaient sous tes doigts.
Mon rêve en tes yeux s’est brisé
Comme un vaisseau sans retenue
Dans le tourment des alizés
Et l’océan des heures nues.
Que ne recherchons-nous l’espoir…
Si le passé suit son destin,
Si le présent fuit notre histoire,
Le temps s’efface et puis s’éteint…