Hors ligne
Concours sur le thème du Printemps
Les votes sont ouverts jusqu'au 24 Mar 2021, à 08:03
Vous pouvez voter pour 3 Poèmes
Bonne lecture !
Règlement des Concours
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Les votes sont ouverts jusqu'au 24 Mar 2021, à 08:03
Vous pouvez voter pour 3 Poèmes
Bonne lecture !
Règlement des Concours
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Le printemps est arrivé
L e Printemps, de retour, étale ses atours,
E t redonne l’espoir de vivre de beaux jours :
P rimevères des prés dont les clochettes d’or
R éjouissent la vue, éblouissant décor !
I l fait doux, l’air embaume de diverses fragrances
N otre nez les humant, nous entrons tous en transes.
T ant de magnificence, une telle splendeur,
E nchante un monde émergeant de la froideur,
M eurtrissures d’hiver, naissance des fleurettes…
P âquerettes douces aux petites collerettes,
S ur pelouse émeraude piquées avec grand art.
E mu, le perce-neige émerge en blanche star,
S uivi du narcisse, et de l’odeur des jacynthes,
T éméraires pensées délicatement peintes.
A près la tulipe, éclot le forsythia ;
R etour en fanfare du gai mimosa !
R omances des oiseaux, sans parcimonie :
I ls s’époumonent en guillerette harmonie !
V oir s’étaler cette palette de couleurs,
É tonne le regard, en réchauffant les cœurs
L e Printemps, de retour, étale ses atours,
E t redonne l’espoir de vivre de beaux jours :
P rimevères des prés dont les clochettes d’or
R éjouissent la vue, éblouissant décor !
I l fait doux, l’air embaume de diverses fragrances
N otre nez les humant, nous entrons tous en transes.
T ant de magnificence, une telle splendeur,
E nchante un monde émergeant de la froideur,
M eurtrissures d’hiver, naissance des fleurettes…
P âquerettes douces aux petites collerettes,
S ur pelouse émeraude piquées avec grand art.
E mu, le perce-neige émerge en blanche star,
S uivi du narcisse, et de l’odeur des jacynthes,
T éméraires pensées délicatement peintes.
A près la tulipe, éclot le forsythia ;
R etour en fanfare du gai mimosa !
R omances des oiseaux, sans parcimonie :
I ls s’époumonent en guillerette harmonie !
V oir s’étaler cette palette de couleurs,
É tonne le regard, en réchauffant les cœurs
Il y a dans le corps de l'oiseau, dans les airs,
Un petit cœur qui bat, fragile je le crois.
Comme nous il a peur, comme nous il a froid,
Il guette les beaux jours qui berceront l'hiver.
Les bourgeons duveteux, quand l'amour veut nous plaire,
Naissent en bout de branche et l'arbre devient roi.
Le désir court en nous et nous voit aux abois,
Nous donne envie d'aimer, c'est extraordinaire.
La jeune feuille verte en bout du doigt de branche
Devient si lumineuse, en sa verdure étanche.
Elle accueille les nids et colore la vie.
Sentez-vous comme moi, là, dans le creux du ventre,
Cet élan de douceur qui se meut en son centre ?
C'est le printemps qui naît doucement de nos nuits.
Un petit cœur qui bat, fragile je le crois.
Comme nous il a peur, comme nous il a froid,
Il guette les beaux jours qui berceront l'hiver.
Les bourgeons duveteux, quand l'amour veut nous plaire,
Naissent en bout de branche et l'arbre devient roi.
Le désir court en nous et nous voit aux abois,
Nous donne envie d'aimer, c'est extraordinaire.
La jeune feuille verte en bout du doigt de branche
Devient si lumineuse, en sa verdure étanche.
Elle accueille les nids et colore la vie.
Sentez-vous comme moi, là, dans le creux du ventre,
Cet élan de douceur qui se meut en son centre ?
C'est le printemps qui naît doucement de nos nuits.
Caresse Printanière.
Renaissance d'une rose,
Quand les champs reverdissent,
Renaissance d'une prose
Et mes joues qui rougissent
Sous chaleur printanière,
Perce neige qui surgit
De son antre tanière
Quand le printemps rugit.
Ô temps de l'espérance,
Verte Erin de mes rêves,
Erynies en partance
Vers la blondeur d'une Eve.
Ô temps des turgescences,
Epis blonds adorés
Ô temps suspends l'errance
De cette crinière dorée.
Caresse du printemps
Qui de l'hiver morose
Est ce doux chant du temps
Où se respire l'osmose.
Renaissance d'une rose,
Quand les champs reverdissent,
Renaissance d'une prose
Et mes joues qui rougissent
Sous chaleur printanière,
Perce neige qui surgit
De son antre tanière
Quand le printemps rugit.
Ô temps de l'espérance,
Verte Erin de mes rêves,
Erynies en partance
Vers la blondeur d'une Eve.
Ô temps des turgescences,
Epis blonds adorés
Ô temps suspends l'errance
De cette crinière dorée.
Caresse du printemps
Qui de l'hiver morose
Est ce doux chant du temps
Où se respire l'osmose.
Le printemps ose !
Au printemps qui fleurit, contemplant les doux champs
Un rai d'or délicat sur ma joue se dépose
Renaissent mes espoirs, en des roses écloses
Ô nature ravie, écoutant le pur chant
La majesté du ciel en somptueux couchant
La bonté du printemps : beauté en toute chose !
Féérie d'oisillons en un jour plein d'osmose;
Demeurant, la Terre, ressuscite au printemps !
Vous cueillez l'Instant frêle à l'encre des pétales,
Carpe Diem du printemps le pur bonheur s'étale
J'aimerai écrire l'immensité du Ciel...
Dans mon cœur azuré, dans mon cœur sans ombrage,
Dans mon cœur sans nuées, en un bel arc-en-ciel
Pour l'été assuré, le temps est à l'ouvrage !
Au printemps qui fleurit, contemplant les doux champs
Un rai d'or délicat sur ma joue se dépose
Renaissent mes espoirs, en des roses écloses
Ô nature ravie, écoutant le pur chant
La majesté du ciel en somptueux couchant
La bonté du printemps : beauté en toute chose !
Féérie d'oisillons en un jour plein d'osmose;
Demeurant, la Terre, ressuscite au printemps !
Vous cueillez l'Instant frêle à l'encre des pétales,
Carpe Diem du printemps le pur bonheur s'étale
J'aimerai écrire l'immensité du Ciel...
Dans mon cœur azuré, dans mon cœur sans ombrage,
Dans mon cœur sans nuées, en un bel arc-en-ciel
Pour l'été assuré, le temps est à l'ouvrage !
Premier sourire
La luzerne et le foin
Jaunissent les champs
Les hirondelles au loin
Annonce le printemps
Les ombres s’étirent
Sous la pression du soleil
C’est toute la nature
Qui annonce son réveil
La bise toujours matinale
Les vergers fleurissants
Une fraicheur sans égale
Attise tous nos sens
Les coteaux en pente
Et sa rosée vivifiante
Que la chaleur essuie
Sur nos joues rougies
Et grimpant le lierre
Sur les murs de pierre
S’accroche avec raison
A cette nouvelle saison
La luzerne et le foin
Jaunissent les champs
Les hirondelles au loin
Annonce le printemps
Les ombres s’étirent
Sous la pression du soleil
C’est toute la nature
Qui annonce son réveil
La bise toujours matinale
Les vergers fleurissants
Une fraicheur sans égale
Attise tous nos sens
Les coteaux en pente
Et sa rosée vivifiante
Que la chaleur essuie
Sur nos joues rougies
Et grimpant le lierre
Sur les murs de pierre
S’accroche avec raison
A cette nouvelle saison
À toi joli printemps,
Couleurs majestueuses
Ta robe merveilleuse
Enchanta tous les temps
Ô toi, roi des saisons
Ta belle toison verte
Qui déjà nous alerte
Piaillements d'oisons
De petits nids d'amour
La haut dans la ramée
Par brindille aportée
Déjà ont vu le jour
Frêle coquelicot
Dans sa robe rouge
Au doux vent qui bouge
Dentelle calicot
Toi mon beau printemps
Et tes douces ondées
En perles de rosée
Avec toi pour un temps
Couleurs majestueuses
Ta robe merveilleuse
Enchanta tous les temps
Ô toi, roi des saisons
Ta belle toison verte
Qui déjà nous alerte
Piaillements d'oisons
De petits nids d'amour
La haut dans la ramée
Par brindille aportée
Déjà ont vu le jour
Frêle coquelicot
Dans sa robe rouge
Au doux vent qui bouge
Dentelle calicot
Toi mon beau printemps
Et tes douces ondées
En perles de rosée
Avec toi pour un temps
Humeur Printanière !
En ce doux matin, le soleil s’étire
Il darde ses rayons, qui, dans l’onde se mirent
Les animaux, tout taquins, l’admirent
La rose d’éclore, veut bien consentir
De partout les oiseaux nous charment de leurs chants
D’un ballet incessant, ils parcourent la campagne
Le mâle, paré de ses plus beaux atours charme sa compagne
Et tous deux, à la chasse aux brindilles, ils battent les champs
Dans l’herbe fraiche, insectes et mammifères
Ne sont point en reste, l’amour les émoustillent
Entre les parades amoureuses et les constructions qui les titillent
Ce Printemps, hardiesse et vigueur leur confère
Cette douce saison, prémices du renouveau
Ne laisse, oh non, personne indifférent
Tout un chacun de nombreux projets entreprend
A une renaissance, ce temps béni équivaut
En ce doux matin, le soleil s’étire
Il darde ses rayons, qui, dans l’onde se mirent
Les animaux, tout taquins, l’admirent
La rose d’éclore, veut bien consentir
De partout les oiseaux nous charment de leurs chants
D’un ballet incessant, ils parcourent la campagne
Le mâle, paré de ses plus beaux atours charme sa compagne
Et tous deux, à la chasse aux brindilles, ils battent les champs
Dans l’herbe fraiche, insectes et mammifères
Ne sont point en reste, l’amour les émoustillent
Entre les parades amoureuses et les constructions qui les titillent
Ce Printemps, hardiesse et vigueur leur confère
Cette douce saison, prémices du renouveau
Ne laisse, oh non, personne indifférent
Tout un chacun de nombreux projets entreprend
A une renaissance, ce temps béni équivaut
Vois! Le jour qui se lève en habits de printemps
Primevères, daphnés, narcisses, anémones
Et ces jolis tapis de corbeilles d'argent,
Jonquilles çà et là, parterres en couronne.
Le jardin s'illumine du lys, lilas blancs
Offrant parfums subtils, de jasmins et de roses
Sous un soleil dardant de ses rais caressants
La nature embellie de bourgeons qui explosent.
La belle marguerite danse dans les champs,
Quand, le petit ru en son lit ondule, chante.
Vois! le vulcain virevoltant par ce beau temps
Autour d'une menthe à grenouille et odorante.
Arbres fruitiers coiffés de perruques fleuries,
Où l'abeille gourmande s'en vient butiner.
Il n'est plus beau tableau, là dans ses harmonies,
Celle d'une saison féconde de beauté.
Voici, le temps des amours et de l'aventure,
La tourterelle roucoule dès le printemps.
En couleurs arc-en-ciel, rutile la nature,
Bercée au doux chant amoureux de ses amants.
Assis devant son chevalet, dans la lumière,
L'artiste peintre immortalise ces instants,
En une éblouissante toile printanière,
Le sourire aux lèvres, dans la douceur du temps...
********
Corbeilles d'argent : Petites fleurs blanches rampantes
Vulcain : Papillon
Menthe a grenouille: Menthe aquatique
Primevères, daphnés, narcisses, anémones
Et ces jolis tapis de corbeilles d'argent,
Jonquilles çà et là, parterres en couronne.
Le jardin s'illumine du lys, lilas blancs
Offrant parfums subtils, de jasmins et de roses
Sous un soleil dardant de ses rais caressants
La nature embellie de bourgeons qui explosent.
La belle marguerite danse dans les champs,
Quand, le petit ru en son lit ondule, chante.
Vois! le vulcain virevoltant par ce beau temps
Autour d'une menthe à grenouille et odorante.
Arbres fruitiers coiffés de perruques fleuries,
Où l'abeille gourmande s'en vient butiner.
Il n'est plus beau tableau, là dans ses harmonies,
Celle d'une saison féconde de beauté.
Voici, le temps des amours et de l'aventure,
La tourterelle roucoule dès le printemps.
En couleurs arc-en-ciel, rutile la nature,
Bercée au doux chant amoureux de ses amants.
Assis devant son chevalet, dans la lumière,
L'artiste peintre immortalise ces instants,
En une éblouissante toile printanière,
Le sourire aux lèvres, dans la douceur du temps...
********
Corbeilles d'argent : Petites fleurs blanches rampantes
Vulcain : Papillon
Menthe a grenouille: Menthe aquatique
Arrive le printemps
De retour du voyage, l’hirondelle
Nous montre le bout de ses ailes
Viens le printemps
Avec ses premiers rayons de soleil
Tout est en éveil
V’là le printemps
On est en Mai
Et fleure le muguet
C’est le printemps
Les portes s’ouvrent des chaumières
On aère, on plante des géraniums dans les jardinières
Il est arrivé le printemps
Dans les bois, dans les champs
Il est arrivé doucement
Avec son enchantement
Au printemps, printemps
Comme on te languit souvent
Après les revers de l’hiver
Tu te revêt de ton dominant teint vert
Cher printemps, comme on t’aime tant
Tu es gai et tu es charmant
Tu nous ravies de tes fleurs
Qui nous met de bonnes humeur
Et puis finit le printemps
Il a fait son temps
Et puis, il passe sa place à l’été
Et alors tout est à recommencer….
De retour du voyage, l’hirondelle
Nous montre le bout de ses ailes
Viens le printemps
Avec ses premiers rayons de soleil
Tout est en éveil
V’là le printemps
On est en Mai
Et fleure le muguet
C’est le printemps
Les portes s’ouvrent des chaumières
On aère, on plante des géraniums dans les jardinières
Il est arrivé le printemps
Dans les bois, dans les champs
Il est arrivé doucement
Avec son enchantement
Au printemps, printemps
Comme on te languit souvent
Après les revers de l’hiver
Tu te revêt de ton dominant teint vert
Cher printemps, comme on t’aime tant
Tu es gai et tu es charmant
Tu nous ravies de tes fleurs
Qui nous met de bonnes humeur
Et puis finit le printemps
Il a fait son temps
Et puis, il passe sa place à l’été
Et alors tout est à recommencer….