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CONSCIENT SOUS ZÉRO...
Dans un lit de neige blanche éternelle
On ce sent merveilleusement bien
Très apte et heureux (se)
De supporter le froid glacial
Mais on peux à peine bouger
Laissez nous dormir
Laissez nous geler à mort
La complainte silencieuse du vent
Nous chante sa douce berceuse
Laissez-nous engourdir
Laissez-nous oublier la vie
Nos corps épuisé se moule à notre cercueil de neige
Le froid mord nos douleurs
Notre coeur s'abandonne
À sa chaleur trompeuse
Bientôt le givre couvrira nos peines
Comme un linceul de dentelles éternelles
Couvrira nos visages de baisers glacés
Effacera les promesses brisées qui ont conduit
Nos âme à accepter pour dernière étreinte
Celle de la glace et du froid
Les seuls qui berceront éternellement nos coeur
Les figeants pour toujours sans jamais les briser
Nos coeurs battent lentement
Car il est au point de congélation
Impossible pour nous de remuer,
La froideur du frima nous paralysent
Nos corps devenus bleuté
Comme des cadavres sans âme
Ô vent noir dont nous sentons sur nos corps les poignards
Ce drap glacé qui fait des plis sur nos front d'anges
Le gel descend au fond de nos os
Au fond de notre âmes sans flamme
Mourir conscient sous zéro...
Auteur André Perron et Mélanie Roy
11-01-2019
Tous Droits Réservés
Dans un lit de neige blanche éternelle
On ce sent merveilleusement bien
Très apte et heureux (se)
De supporter le froid glacial
Mais on peux à peine bouger
Laissez nous dormir
Laissez nous geler à mort
La complainte silencieuse du vent
Nous chante sa douce berceuse
Laissez-nous engourdir
Laissez-nous oublier la vie
Nos corps épuisé se moule à notre cercueil de neige
Le froid mord nos douleurs
Notre coeur s'abandonne
À sa chaleur trompeuse
Bientôt le givre couvrira nos peines
Comme un linceul de dentelles éternelles
Couvrira nos visages de baisers glacés
Effacera les promesses brisées qui ont conduit
Nos âme à accepter pour dernière étreinte
Celle de la glace et du froid
Les seuls qui berceront éternellement nos coeur
Les figeants pour toujours sans jamais les briser
Nos coeurs battent lentement
Car il est au point de congélation
Impossible pour nous de remuer,
La froideur du frima nous paralysent
Nos corps devenus bleuté
Comme des cadavres sans âme
Ô vent noir dont nous sentons sur nos corps les poignards
Ce drap glacé qui fait des plis sur nos front d'anges
Le gel descend au fond de nos os
Au fond de notre âmes sans flamme
Mourir conscient sous zéro...
11-01-2019
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