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( un vrai couvre feu, sous dictature lointaine)
Ces trois heures avec toi, de douceurs partagées,
Ont réveillé en moi, la tiédeur du velours,
A ce jeu des étreintes, de nos corps enlacés,
Nos lèvres ont retenu les alarmes de l’amour
Aventureuse Femme, ta flèche m’a percé,
Je n’ai pu m’échapper, dans tes ailes enveloppé,
En esclave, dans tes bras, suis allé me lover,
Mes yeux ont surligné les formes de ta beauté
Ma bouche a pris le temps, de tout de toi, gouter
De tes lèvres à tes seins, jusqu’à ton ventre offert,
Tu m’as rendu pareil, j’en suis encore troublé,
Et quand tu as crié, j’avais quitté la Terre.
A peine es- tu partie, qu’au jardin du bonheur,
J’ai réservé ta place dans l’allée exotique,
Parmi les plus jolies, je l’ai ornée d’un cœur,
Une jolie rose noire, jolie fleur érotique.
Je repense aujourd’hui, aux saveurs du désir,
Tandis que dans la ville, la colère est montée
Je vais rentrer chez moi, pour m’éloigner du pire
Retrouver ton odeur dans mes draps, imbibée.
Et si dans quelques jours, le calme est revenu
Voudras- tu te blottir dans le feu de mes bras?
Mélanger les parfums de nos peaux mises à nue
Et poursuivre la romance de nous deux toi et moi.
Alors entends le vent, et regardes les oiseaux,
Les deux sont messagers de mon amour pour toi
Le soyeux de leurs plumes n’a d’égal que ta peau,
Et la brise sur ton cou, mes baisers posera.
Ces trois heures avec toi, de douceurs partagées,
Ont réveillé en moi, la tiédeur du velours,
A ce jeu des étreintes, de nos corps enlacés,
Nos lèvres ont retenu les alarmes de l’amour
Aventureuse Femme, ta flèche m’a percé,
Je n’ai pu m’échapper, dans tes ailes enveloppé,
En esclave, dans tes bras, suis allé me lover,
Mes yeux ont surligné les formes de ta beauté
Ma bouche a pris le temps, de tout de toi, gouter
De tes lèvres à tes seins, jusqu’à ton ventre offert,
Tu m’as rendu pareil, j’en suis encore troublé,
Et quand tu as crié, j’avais quitté la Terre.
A peine es- tu partie, qu’au jardin du bonheur,
J’ai réservé ta place dans l’allée exotique,
Parmi les plus jolies, je l’ai ornée d’un cœur,
Une jolie rose noire, jolie fleur érotique.
Je repense aujourd’hui, aux saveurs du désir,
Tandis que dans la ville, la colère est montée
Je vais rentrer chez moi, pour m’éloigner du pire
Retrouver ton odeur dans mes draps, imbibée.
Et si dans quelques jours, le calme est revenu
Voudras- tu te blottir dans le feu de mes bras?
Mélanger les parfums de nos peaux mises à nue
Et poursuivre la romance de nous deux toi et moi.
Alors entends le vent, et regardes les oiseaux,
Les deux sont messagers de mon amour pour toi
Le soyeux de leurs plumes n’a d’égal que ta peau,
Et la brise sur ton cou, mes baisers posera.