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Dans ma bulle…
Quand le jour devient nuit
Alors dans un autre monde je bascule
Et quand le soleil s’enfuit
Je vais m’enfermer dans ma bulle
Quand la vie devient elle-même, une overdose
Quand je ne peux plus exprimer les choses
Et que mon corps entier est ecchymose
Alors dans ma bulle… en douceur je me pose
Le silence y règne
Tout devient calme
De doux murmures baignent
Mon cœur, qui retrouve son calme
Quand je deviens trop fragile
Comme un funambule
Je longe le mince fil
Qui me conduira vers ma bulle
Dans cette bulle
Je peux dérober au ciel, toutes les étoiles
Pour faire naître le crépuscule
Et enfin sur mes peurs, lever le voile
Quand trop de sanglots m’étouffent
Une seule solution… retournez dans ma bulle
Dans elle, point de vacarme qui m’esbroufe
Le désespoir ne pouvant y pénétrer, capitule
Pourrais-je un jour, vivre
Sans elle ?
À toute cette violence pourrais-je survivre
Sans entrer dans ma citadelle
Il m’est nécessaire
Sinon vital
Que cette bulle légendaire
Demeure mon lieu spécial
Sans que sa violence me blesse
Sans entendre ces cris qui grondent
Et qui perturbent mon âme, de tristesse
Ce lieu secret
Je le garde…
Il sent bon le muguet
Et il est mon corps de garde…
Quand le jour devient nuit
Alors dans un autre monde je bascule
Et quand le soleil s’enfuit
Je vais m’enfermer dans ma bulle
Quand la vie devient elle-même, une overdose
Quand je ne peux plus exprimer les choses
Et que mon corps entier est ecchymose
Alors dans ma bulle… en douceur je me pose
Le silence y règne
Tout devient calme
De doux murmures baignent
Mon cœur, qui retrouve son calme
Quand je deviens trop fragile
Comme un funambule
Je longe le mince fil
Qui me conduira vers ma bulle
Dans cette bulle
Je peux dérober au ciel, toutes les étoiles
Pour faire naître le crépuscule
Et enfin sur mes peurs, lever le voile
Quand trop de sanglots m’étouffent
Une seule solution… retournez dans ma bulle
Dans elle, point de vacarme qui m’esbroufe
Le désespoir ne pouvant y pénétrer, capitule
Pourrais-je un jour, vivre
Sans elle ?
À toute cette violence pourrais-je survivre
Sans entrer dans ma citadelle
Il m’est nécessaire
Sinon vital
Que cette bulle légendaire
Demeure mon lieu spécial
Sans que sa violence me blesse
Sans entendre ces cris qui grondent
Et qui perturbent mon âme, de tristesse
Ce lieu secret
Je le garde…
Il sent bon le muguet
Et il est mon corps de garde…