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Poème De l'angoisse de la page blanche

chessmec

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#1
Comment peut-on souffrir de ne pouvoir écrire ?
L'inspiration s'en va vers des lieux éthérés,
La page blanche est là d'affres inaérés,
On n'a rien à offrir de sa muse à proscrire...

On cherche dans les mots, quelque chose à décrire,
Une joie, un défaut, un être à implorer,
Dans le jardin des faux, on ne doit déplorer,
La hardiesse des maux, de ceux que l'on soupire...

Et puis plein de douleur, de pudeur, le poète
S'interroge en douceur, parfois même s'inquiète,
De la panne sèche qui l'oblige à présent...

Il compose un écrit un poil désobligeant,
Comme un délicieux cri, sous forme de complainte,
Eteignant la mèche de sa plus grande crainte...

13 novembre 2020
 

Moïse Wolff

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#4
Merci Mo,
ce commentaire m'émeut de façon étonnante !
D'une plume aussi avisée et habile que la tienne, c'est un superbe compliment !
Amitiés,
Chess.
Je suis sincère, je trouve que tu progresses dans l'art et la manière de versifier tes ressentis, c'est juste remarquable au sens propre du terme. ;)
 
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#5
Comment peut-on souffrir de ne pouvoir écrire ?
L'inspiration s'en va vers des lieux éthérés,
La page blanche est là d'affres inaérés,
On n'a rien à offrir de sa muse à proscrire...

On cherche dans les mots, quelque chose à décrire,
Une joie, un défaut, un être à implorer,
Dans le jardin des faux, on ne doit déplorer,
La hardiesse des maux, de ceux que l'on soupire...

Et puis plein de douleur, de pudeur, le poète
S'interroge en douceur, parfois même s'inquiète,
De la panne sèche qui l'oblige à présent...

Il compose un écrit un poil désobligeant,
Comme un délicieux cri, sous forme de complainte,
Eteignant la mèche de sa plus grande crainte...

13 novembre 2020
Merci pour cette merveille
Devant ton talent je me sens vraiment petite
Bonne journée
Gaby
 

bkader

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#8
Comment peut-on souffrir de ne pouvoir écrire ?
L'inspiration s'en va vers des lieux éthérés,
La page blanche est là d'affres inaérés,
On n'a rien à offrir de sa muse à proscrire...

On cherche dans les mots, quelque chose à décrire,
Une joie, un défaut, un être à implorer,
Dans le jardin des faux, on ne doit déplorer,
La hardiesse des maux, de ceux que l'on soupire...

Et puis plein de douleur, de pudeur, le poète
S'interroge en douceur, parfois même s'inquiète,
De la panne sèche qui l'oblige à présent...

Il compose un écrit un poil désobligeant,
Comme un délicieux cri, sous forme de complainte,
Eteignant la mèche de sa plus grande crainte...

13 novembre 2020
voir la beauté de ce sonnet je ne pense pas que
l'angoisse de la page blanche vous touche souvent
amicalement
 

chessmec

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#9
Merci pour cette merveille
Devant ton talent je me sens vraiment petite
Bonne journée
Gaby
Gaby,
Tu n'as à te sentir petite devant absolument personne ! Tes acrostiches et tes quatrains ont tout autant de beauté et d'attrait que mes sonnets, ou toute autre publication poétique de n'importe quel membre d'ici.
J'apprends d'absolument tout le monde en lisant les publications.
A partir du moment où l'écrit livre une émotion, le lecteur est ferré (comme un poisson) !
Donc, Gaby, je suis flatté que tu sois ferrée par mon " talent " et je t'en remercie de tout mon coeur sincèrement.
Je suis moi-même abonné à tes écrits ;)
Plein de bisous d'un Chess reconnaissant ;)
 

chessmec

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#10
Idem à Moïse, il est vraiment SUPER ton poème (y)(y)(y):love::love::love::love::love::love::love::love::love::love::love:
Sophie,
Comme Gaby, tu es mon abonnée privilégiée, tu ne rates jamais un écrit et en plus, tu agites tous les fanions de la reconnaissance lorsque tu commentes...
Merci sincèrement de ne pas te lasser de mes sonnets ;)
Plein de bisous d'un Chess reconnaissant ;)
 

chessmec

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#12
voir la beauté de ce sonnet je ne pense pas que
l'angoisse de la page blanche vous touche souvent
amicalement
Merci bkader,
Effectivement, je n'ai pas véritablement le souci de la page blanche. Cet écrit fait écho à un poème que j'ai lu quelque part hier... Contrairement à d'autres, je fais feu de tout bois... Lire les publications d'autrui m'inspire énormément... D'où ma requête de soigner l'écriture par égard pour ceux qui lisent !
Merci pour votre commentaire très agréable !
Au plaisir de vous en rendre d'aussi agréable ;)
Amicalement,
Chess.
 
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#15
Sophie,
Comme Gaby, tu es mon abonnée privilégiée, tu ne rates jamais un écrit et en plus, tu agites tous les fanions de la reconnaissance lorsque tu commentes...
Merci sincèrement de ne pas te lasser de mes sonnets ;)
Plein de bisous d'un Chess reconnaissant ;)
MERCI BEAUCOUP Chess pour ton commentaire qui me fait très plaisir :love::love::love::love: Non je ne me lasse pas de tes sonnets cher poète :love::love::love::love::)
 

Chantal

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#18
Comment peut-on souffrir de ne pouvoir écrire ?
L'inspiration s'en va vers des lieux éthérés,
La page blanche est là d'affres inaérés,
On n'a rien à offrir de sa muse à proscrire...

On cherche dans les mots, quelque chose à décrire,
Une joie, un défaut, un être à implorer,
Dans le jardin des faux, on ne doit déplorer,
La hardiesse des maux, de ceux que l'on soupire...

Et puis plein de douleur, de pudeur, le poète
S'interroge en douceur, parfois même s'inquiète,
De la panne sèche qui l'oblige à présent...

Il compose un écrit un poil désobligeant,
Comme un délicieux cri, sous forme de complainte,
Eteignant la mèche de sa plus grande crainte...

13 novembre 2020
Belle complainte du poète cherchant sa Muse...La tienne t'est fidèle ! 🙂
 
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