- Inscrit
- 4 Mars 2019
- Messages
- 2,193
- J'aime
- 4,858
- Points
- 123
- Je suis
- Une femme
Hors ligne
De plus que les autres
Qu'avait-il donc de plus que les autres
Je ne saurais le dire
Dès le premier regard, j'ai été attirée
Par son grand sourire,
Et cette lueur de joie qui a brillé
Quand ses yeux sur moi se sont posés.
Ce qu’il avait de plus que les autres,
Je le découvre au fil des mots, lentement,
Sa patience, sa gentillesse
Mais surtout, je comprends
En écoutant sa voix pleine de tendresse
Que je viens de trouver l‘autre bout de moi ,
Longtemps, si longtemps j'ai cherché,
Je l’ai cherché cet autre bout de moi,
Mon complément, ma moitié,
Celle dont on porte le manque en soi
Celle dont l'invisible absence,
Comme sur un corps mutilé
Crée la souffrance,
Longtemps, si longtemps j'ai cherché
Celui sans qui mon cœur était glacé,
Malgré le soleil versant son or en fusion,
Dans mon âme brûlante de stérile passion,
Mes mains restaient vides de caresses
Mes bras restaient en deuil de tendresse!
Et voilà que dans un simple message,
Échangé un jour par minitel , je l'ai trouvé,
Même si ma raison m'ordonnait d'être sage,
De ne pas laisser un inconnu de mon cœur s’emparer
Je sais avoir enfin découvert celui qui m'a tant manqué,
Celui dont le souvenir de toute éternité
Dans ma mémoire était gravé
Pour Christian
Qui est devenu mon époux bien-aimé
Emie
Qu'avait-il donc de plus que les autres
Je ne saurais le dire
Dès le premier regard, j'ai été attirée
Par son grand sourire,
Et cette lueur de joie qui a brillé
Quand ses yeux sur moi se sont posés.
Ce qu’il avait de plus que les autres,
Je le découvre au fil des mots, lentement,
Sa patience, sa gentillesse
Mais surtout, je comprends
En écoutant sa voix pleine de tendresse
Que je viens de trouver l‘autre bout de moi ,
Longtemps, si longtemps j'ai cherché,
Je l’ai cherché cet autre bout de moi,
Mon complément, ma moitié,
Celle dont on porte le manque en soi
Celle dont l'invisible absence,
Comme sur un corps mutilé
Crée la souffrance,
Longtemps, si longtemps j'ai cherché
Celui sans qui mon cœur était glacé,
Malgré le soleil versant son or en fusion,
Dans mon âme brûlante de stérile passion,
Mes mains restaient vides de caresses
Mes bras restaient en deuil de tendresse!
Et voilà que dans un simple message,
Échangé un jour par minitel , je l'ai trouvé,
Même si ma raison m'ordonnait d'être sage,
De ne pas laisser un inconnu de mon cœur s’emparer
Je sais avoir enfin découvert celui qui m'a tant manqué,
Celui dont le souvenir de toute éternité
Dans ma mémoire était gravé
Pour Christian
Qui est devenu mon époux bien-aimé
Emie