Hors ligne
J'imagine encore tes tendre câlins réchauffer mon corps
Je crois sentir ton odeur et le monde est trésor
Mes mains sont en deuils de plus pouvoir toucher ta peau
L'esprit réalise son suicide sous l'effet du couteau
Moi qui croyais mon âme sanctuaire impénétrable
La haine s'est glissée laissant sortir le diable
L'or devient cendre quand le coeur par les flots chavires
La vie fait qu'un tour se sent laide a vomir
Mes yeux sont devenus aveugles sans ton étincelle regard
Dans ce manteau de douleur j'accorde mes veines au rasoir
Tu as fait sourire ma vie mon amour d'héroine
C'est l'overdose de l'intense dans ce sang sous morphine
Couché sur le sol j'agonise en ouvrant les bras
Comme un martyr qui souffre aimant la forme de la croix
Mieux vaut mourir que de vivre en étant mort
Quand les larmes serrent la gorge et deviennent carnivores
Voici les flammes qui brûlent les spleens de mon être
Le bûcher devient poussière comme cet ardent squelette
Faut t'il que je tombe dans l'éthee pour lessiver ma cervelle ?
Je voudrai tant t'oublier mais te perdre est séquelle
Le soleil séchera jamais mes ténèbres nuages
Voilà que l'amour a encore fait de sombre ravage
Laisse moi une dernière fois contempler ton visage
Avant que ce pendu balance libéré du carnage
Je crois sentir ton odeur et le monde est trésor
Mes mains sont en deuils de plus pouvoir toucher ta peau
L'esprit réalise son suicide sous l'effet du couteau
Moi qui croyais mon âme sanctuaire impénétrable
La haine s'est glissée laissant sortir le diable
L'or devient cendre quand le coeur par les flots chavires
La vie fait qu'un tour se sent laide a vomir
Mes yeux sont devenus aveugles sans ton étincelle regard
Dans ce manteau de douleur j'accorde mes veines au rasoir
Tu as fait sourire ma vie mon amour d'héroine
C'est l'overdose de l'intense dans ce sang sous morphine
Couché sur le sol j'agonise en ouvrant les bras
Comme un martyr qui souffre aimant la forme de la croix
Mieux vaut mourir que de vivre en étant mort
Quand les larmes serrent la gorge et deviennent carnivores
Voici les flammes qui brûlent les spleens de mon être
Le bûcher devient poussière comme cet ardent squelette
Faut t'il que je tombe dans l'éthee pour lessiver ma cervelle ?
Je voudrai tant t'oublier mais te perdre est séquelle
Le soleil séchera jamais mes ténèbres nuages
Voilà que l'amour a encore fait de sombre ravage
Laisse moi une dernière fois contempler ton visage
Avant que ce pendu balance libéré du carnage