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Defit
De ses ancêtres, mon grand-père,vétérinaire, avait hérite, d’une grande battisse dans un cadre idyllique , au milieu des pins, les écureuils , se régalaient des pignons,qu’ils y trouvaient.
Il fit donc une étude sur ce petit animal étonnant de malice, s’enticha de l’un d’entre eux, et l’apprivoisa.
Mon aïeul, compléta, des siècles d’observation dans un livre consacré a cet animal, la tradition voulait qu’il nous donne ce recueil bien avant son premier cheveu blanc, à nous de le transmettre par la suite.
Hélas,le trouble et la confusion commençaient à le miner et quand il fut atteint de démence, nous n’eûmes qu’un seul choix celui de l’interner, et il mourut peu de temps après.
C’était la «mauvaise heure pour partir", nous devions prendre l’avion pour les États Unis.
Notre honneur nous dicta de l’enterrer dignement et d’adopter l’animal avant qu’il n’y ait conspiration entre les autres héritiers, qui eux convoitaient le coffre de l’aïeul et son précieux contenu , mais n’auraient eu aucune pitié pour le bel écureuil.
Heureusement les gens à la ronde nous connaissaient, et nous avions la clé du portail , un soir ou le ciel nuageux menaçait d’un orage, nous le récupérâmes, grâce a un voisin qui passait là par hasard et qui nous prêta une échelle, car le petit animal très effrayé, s’était enfuit, et caché, dans un arbre immense.
De ses ancêtres, mon grand-père,vétérinaire, avait hérite, d’une grande battisse dans un cadre idyllique , au milieu des pins, les écureuils , se régalaient des pignons,qu’ils y trouvaient.
Il fit donc une étude sur ce petit animal étonnant de malice, s’enticha de l’un d’entre eux, et l’apprivoisa.
Mon aïeul, compléta, des siècles d’observation dans un livre consacré a cet animal, la tradition voulait qu’il nous donne ce recueil bien avant son premier cheveu blanc, à nous de le transmettre par la suite.
Hélas,le trouble et la confusion commençaient à le miner et quand il fut atteint de démence, nous n’eûmes qu’un seul choix celui de l’interner, et il mourut peu de temps après.
C’était la «mauvaise heure pour partir", nous devions prendre l’avion pour les États Unis.
Notre honneur nous dicta de l’enterrer dignement et d’adopter l’animal avant qu’il n’y ait conspiration entre les autres héritiers, qui eux convoitaient le coffre de l’aïeul et son précieux contenu , mais n’auraient eu aucune pitié pour le bel écureuil.
Heureusement les gens à la ronde nous connaissaient, et nous avions la clé du portail , un soir ou le ciel nuageux menaçait d’un orage, nous le récupérâmes, grâce a un voisin qui passait là par hasard et qui nous prêta une échelle, car le petit animal très effrayé, s’était enfuit, et caché, dans un arbre immense.