Hors ligne
Diamant de Velours
"Je suis de ceux qui mourraient
Pour un zeste d'azur
Qui pleurerait ses étoiles du soir"
J. Lou
"Remarquez et sentez le vent danser encore, en chœur
Avec la rare et douce violence des violons de mon cœur"
J. Lou
Ses yeux pur élixir, hymne à la puissance
Sont ma joie, font ma loi, ma douce violence.
Ses yeux sont des soleils qui étoilent mon cœur;
Qui étoilent mon cœur, dans ce cœur qui s'écœure.
Ses yeux sont des astres dont les rayons d'amours
Blessent mon sein, le ressuscitent... le fleurissent
En eux toutes saisons confondues... le polissent…
Feux de lumière, diamant de velours
Son regard à la fois, me bénit, me maudit
Mon refuge, ma croix, mon arche, mon fardeau,
En martyre d'amour, en reître, et en badot
Rédemption, damnation, Hamlet, j'ai ta folie !
Hérésie! Obsession d'un poète épris.
Souvent sublime feu, parfois faible lueur
Le malheur les noircit, pour le bonheur je prie
Je vous en prie, moins de flammes, moins de chaleurs
Bien plus purs qu'une aube, je touche l'horizon
Des cils qui m'élèvent, vers le haut, dans les cieux,
Souvent je pense à eux, souvent j'en perds raison ;
Ses paupières charme divin et délicieux !
Quand je dors, quand j'écris, ce sont mes rêves pieux.
Au point de geindre quand elle ferme les yeux
Si j'en venais à ne plus les voir, déesse...
J'en serai affligé, je connaîtrai détresse !
Un poème, le plus beau que Dieu ait créé
Dès l'once de peine j'en suis tout effrayé
Le malheur les noircit dès lors j'écris mes cris
Je charme mes larmes et pourtant oui… je prie !
J'écris
Mes cris
Je charme
Mes larmes
Sont ma joie, font ma loi, ma douce violence.
Ses yeux sont des soleils qui étoilent mon cœur;
Qui étoilent mon cœur, dans ce cœur qui s'écœure.
Ses yeux sont des astres dont les rayons d'amours
Blessent mon sein, le ressuscitent... le fleurissent
En eux toutes saisons confondues... le polissent…
Feux de lumière, diamant de velours
Son regard à la fois, me bénit, me maudit
Mon refuge, ma croix, mon arche, mon fardeau,
En martyre d'amour, en reître, et en badot
Rédemption, damnation, Hamlet, j'ai ta folie !
Hérésie! Obsession d'un poète épris.
Souvent sublime feu, parfois faible lueur
Le malheur les noircit, pour le bonheur je prie
Je vous en prie, moins de flammes, moins de chaleurs
Bien plus purs qu'une aube, je touche l'horizon
Des cils qui m'élèvent, vers le haut, dans les cieux,
Souvent je pense à eux, souvent j'en perds raison ;
Ses paupières charme divin et délicieux !
Quand je dors, quand j'écris, ce sont mes rêves pieux.
Au point de geindre quand elle ferme les yeux
Si j'en venais à ne plus les voir, déesse...
J'en serai affligé, je connaîtrai détresse !
Un poème, le plus beau que Dieu ait créé
Dès l'once de peine j'en suis tout effrayé
Le malheur les noircit dès lors j'écris mes cris
Je charme mes larmes et pourtant oui… je prie !
J'écris
Mes cris
Je charme
Mes larmes
J. L. B.
Le 2 Juin 2020
Corrigé le 28 Juin 2020
Le 2 Juin 2020
Corrigé le 28 Juin 2020