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Voilà
je pousse la porte du bar
car la nuit est une hypothèse classée sans suite
par le marchand de sable,
sur leur perchoir désastreux
bien alignés
je vois des omoplates et des cous de taureaux
et à la place du cœur des arrosoirs,
Le brouhaha résume tout ce qui a été ou va être dit ici
en plein génocide de cacahuètes,
Derrière le zinc
la fille assure
elle a laissé la nature creuser entre ses seins des cimetières pour les yeux vitreux
au dessus pendouille un colifichet transpercé par un fil de cuir,
et un petit morceau de son soutien-gorge se faufile parfois sous le bord de sa chemise
tandis que ses seins jouent des maracas dans la tête d'un abruti,
le patron parle avec un flic en civil
la conversation et le championnat de foot deviennent bonnes copines
un proxénète et deux dealers jouent au billard avec un chômeur
et à la radio Randolph Lafayette en termine avec sa chanson fétiche
"l'alibi du diable est que je ne crois plus en lui"
un chanson d'amour entre un taille crayon et une gomme
dans le cartable d'une gamine,
Un dandy factice raconte une blague sur un boomerang
qui ne veut pas revenir
mais j'entends pas la suite
car Randolph fait bis,
A côté de moi
un brelan de comique en survêtement du Football Club de j'en ai rien à foutre
et une paire d'étudiantes en "comment réussir sa vie
quand on n'a pas la chance d'être orpheline"
présume l'innocence des uns
sans se rendre coupable de l'autre
c'est joliment dit
et c'est pour ça que je vous le dit
Mais pour moi les choses sérieuse commence déjà
avec une énigme de 50 centilitres
que je résous avec mon coude,
puis
je m'installe en plein bastingage avec jean Louis Hulk
le capitaine Bobby Haddock
et un autre mousquetaire qui s'appel je crois
Tarentule en mortadelle
ou crochet du gauche
on s'en branle
vous aussi
n'est-ca pas ?
Bonne nuit…
je pousse la porte du bar
car la nuit est une hypothèse classée sans suite
par le marchand de sable,
sur leur perchoir désastreux
bien alignés
je vois des omoplates et des cous de taureaux
et à la place du cœur des arrosoirs,
Le brouhaha résume tout ce qui a été ou va être dit ici
en plein génocide de cacahuètes,
Derrière le zinc
la fille assure
elle a laissé la nature creuser entre ses seins des cimetières pour les yeux vitreux
au dessus pendouille un colifichet transpercé par un fil de cuir,
et un petit morceau de son soutien-gorge se faufile parfois sous le bord de sa chemise
tandis que ses seins jouent des maracas dans la tête d'un abruti,
le patron parle avec un flic en civil
la conversation et le championnat de foot deviennent bonnes copines
un proxénète et deux dealers jouent au billard avec un chômeur
et à la radio Randolph Lafayette en termine avec sa chanson fétiche
"l'alibi du diable est que je ne crois plus en lui"
un chanson d'amour entre un taille crayon et une gomme
dans le cartable d'une gamine,
Un dandy factice raconte une blague sur un boomerang
qui ne veut pas revenir
mais j'entends pas la suite
car Randolph fait bis,
A côté de moi
un brelan de comique en survêtement du Football Club de j'en ai rien à foutre
et une paire d'étudiantes en "comment réussir sa vie
quand on n'a pas la chance d'être orpheline"
présume l'innocence des uns
sans se rendre coupable de l'autre
c'est joliment dit
et c'est pour ça que je vous le dit
Mais pour moi les choses sérieuse commence déjà
avec une énigme de 50 centilitres
que je résous avec mon coude,
puis
je m'installe en plein bastingage avec jean Louis Hulk
le capitaine Bobby Haddock
et un autre mousquetaire qui s'appel je crois
Tarentule en mortadelle
ou crochet du gauche
on s'en branle
vous aussi
n'est-ca pas ?
Bonne nuit…