Hors ligne
Des nuages transparents transpercent la lune
Douce insomnie il est quatre heures passé
Ne veux tu pas errer vers de lointaine contrée?
Je suis rentrée tard mais ce n'est pas une raison
Quand l'astre des nuits est au sommet des tours
Que les volets se ferment et que meurt la passion
Quitte la piste, laisse les rêves valser
Et surtout emprisonne les cauchemars névrosés.
Mais tu restes, et m'enlaces, me colles à la peau
Il est vrai que je t'aime, mais ce soir, sincèrement
Je voudrais partir ne plus quitter Morphée
Attendre le printemps pour que mes lèvres bleutées
Se réchauffent aux rayons d'un soleil abricot
Mais tu restes, encore, et imprègnes ma peau
Je te hais, va-t'en, qu'attends-tu de moi?
Ma mort? Ma voix? Mes mots? Mes cernes?
Tiens, prends-les, toutes mes humeurs ternes.
Douce insomnie il est quatre heures passé
Ne veux tu pas errer vers de lointaine contrée?
Je suis rentrée tard mais ce n'est pas une raison
Quand l'astre des nuits est au sommet des tours
Que les volets se ferment et que meurt la passion
Quitte la piste, laisse les rêves valser
Et surtout emprisonne les cauchemars névrosés.
Mais tu restes, et m'enlaces, me colles à la peau
Il est vrai que je t'aime, mais ce soir, sincèrement
Je voudrais partir ne plus quitter Morphée
Attendre le printemps pour que mes lèvres bleutées
Se réchauffent aux rayons d'un soleil abricot
Mais tu restes, encore, et imprègnes ma peau
Je te hais, va-t'en, qu'attends-tu de moi?
Ma mort? Ma voix? Mes mots? Mes cernes?
Tiens, prends-les, toutes mes humeurs ternes.