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À l'ombre d'un platane
Où je me reposais
Surgit de sa cabane
Grégoire le laquais
Que faites vous donc là
Ma belle demoiselle
Éloignez vous déjà
Et prenez cette ombrelle
Vous êtes trop gentil
Et je vous remercie
Au château je partis
Par ses yeux eblouie
Hantée par son regard
Je le voyais en rêve
Et à son teint blafard
Je repensais sans trêve
Mais je n'étais que moi
L'inconnue de ce songe
Il vivait dans les bois
Cet amour qui ce ronge
Où je me reposais
Surgit de sa cabane
Grégoire le laquais
Que faites vous donc là
Ma belle demoiselle
Éloignez vous déjà
Et prenez cette ombrelle
Vous êtes trop gentil
Et je vous remercie
Au château je partis
Par ses yeux eblouie
Hantée par son regard
Je le voyais en rêve
Et à son teint blafard
Je repensais sans trêve
Mais je n'étais que moi
L'inconnue de ce songe
Il vivait dans les bois
Cet amour qui ce ronge
La poésie guérit les maux par les mots