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Douceur de vie,
Il pleut des secondes de temps, lourdes, chargées
De passé, quelquefois, ondées de souvenirs
De rafales amenées par un vent insurgé
En pensant à cela, je ne peux rajeunir.
Sur un étroit chemin, je marche nonchalant
Et de mes pas, quelques cailloux râlent en silence
Perturbés dans leur sommeil millénaire, avant
De retrouver leur infatigable indolence.
Le soleil au zénith martèle la garrigue
De ses rayons ardents, la cigale stridule
Dans un champ d’oliviers, mon ami Rodrigue
Me rejoint vers le port, malgré la canicule.
Assis devant la mer, il parle de jeunesse
Evoquant les rires, jeux de notre enfance
Il a l’art d’exprimer, avec tant de finesse
Ces doux moments, où nous étions sans défense.
Les années ont marquées de leurs larges sourires
Les visages, nos regards ont toujours l’éclat
Emerveillé, la vie ici a fait mûrir
Nos cœurs, nous trinquons à deux, sous la pergola.
Le soir tombe sur le quai et sur l’océan
Le jour nous salue, nous lui rendons l’au revoir
Il est l’heure de retourner bienséant
A son logis, je vous dis chers lecteurs, bonsoir !
Il pleut des secondes de temps, lourdes, chargées
De passé, quelquefois, ondées de souvenirs
De rafales amenées par un vent insurgé
En pensant à cela, je ne peux rajeunir.
Sur un étroit chemin, je marche nonchalant
Et de mes pas, quelques cailloux râlent en silence
Perturbés dans leur sommeil millénaire, avant
De retrouver leur infatigable indolence.
Le soleil au zénith martèle la garrigue
De ses rayons ardents, la cigale stridule
Dans un champ d’oliviers, mon ami Rodrigue
Me rejoint vers le port, malgré la canicule.
Assis devant la mer, il parle de jeunesse
Evoquant les rires, jeux de notre enfance
Il a l’art d’exprimer, avec tant de finesse
Ces doux moments, où nous étions sans défense.
Les années ont marquées de leurs larges sourires
Les visages, nos regards ont toujours l’éclat
Emerveillé, la vie ici a fait mûrir
Nos cœurs, nous trinquons à deux, sous la pergola.
Le soir tombe sur le quai et sur l’océan
Le jour nous salue, nous lui rendons l’au revoir
Il est l’heure de retourner bienséant
A son logis, je vous dis chers lecteurs, bonsoir !