Hors ligne
Tu sais, quand je te lis, je soupire d'envie.
J'imagine tes mains, j'imagine tes doigts
Tâtonner sur ma peau, blanche comme la soie,
O écris-moi encore en libre poésie.
Souvent, tu me le dis, tu aimes mon esprit
Logé dans un écrin qui fait pâlir les rois.
J'aime les hommes mûrs, j'aime tout à la fois,
Tes cernes sous tes yeux et ta tour de Paris.
Je m'abandonne à toi, nue dans ma vérité,
Sans aucun artifice, avec mon corps de fée,
Des ailes dans le dos, des fesses rebondies.
Montée sur mes talons de Christian Louboutin,
Ma culotte brodée, ma descente de reins.
Je m'offre toute à toi, si tu veux, une nuit.
Pauline
Le 13 octobre
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