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L’arbre revit au printemps sous une douce brise
Et ses feuilles frémissent d’un léger bruit au vent
Les branches dansent dans l’air délicatement
On entend le tintement lointain de l’église
Les fleurs peu à peu se libère du bourgeon
On y voit les premières couleurs, pastels ou primaires
Et lorsque la nuit tombe sur le grand belvédère
Elle se pose en silence dans l’absence d’aquilon
Je caresse ta main si douce et si fluette
Que ne donnerais tu pour me conter tes songes
Tendrement déposés tes mots en mon corps s’allonge
Dans une caresse veille ma bouche muette
La délicatesse de tes chants m’ensorcelle
Suis-je victime encore de ton sorcier vaudou
Qui mit place en mes mains la douceur de ton cou
Et mes doigts se promènent sur ta peau jouvencelle
C’est alors que j’effeuille avec timidité
Je prendrais bien le temps si tu me le permet
Les minutes passeront et d’effleurements agiles
J’atteindrai le bouton pour qu’à moi tu frétilles.
Et ses feuilles frémissent d’un léger bruit au vent
Les branches dansent dans l’air délicatement
On entend le tintement lointain de l’église
Les fleurs peu à peu se libère du bourgeon
On y voit les premières couleurs, pastels ou primaires
Et lorsque la nuit tombe sur le grand belvédère
Elle se pose en silence dans l’absence d’aquilon
Je caresse ta main si douce et si fluette
Que ne donnerais tu pour me conter tes songes
Tendrement déposés tes mots en mon corps s’allonge
Dans une caresse veille ma bouche muette
La délicatesse de tes chants m’ensorcelle
Suis-je victime encore de ton sorcier vaudou
Qui mit place en mes mains la douceur de ton cou
Et mes doigts se promènent sur ta peau jouvencelle
C’est alors que j’effeuille avec timidité
Je prendrais bien le temps si tu me le permet
Les minutes passeront et d’effleurements agiles
J’atteindrai le bouton pour qu’à moi tu frétilles.