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Erotico galéjade méridionale
C’est au cours d’un tournoi plaisir du moyen-âge
Que Bertrand Du Plessis pourfendeur de rival
Récolta un éclat qui sans être fatal
L’empêcha par la suite de se montrer volage !
Bien qu’il eut des envies il fut donc en jachère
Les dames auraient bien voulu quelques faveurs
Mais son engin ayant perdu de sa rigueur
Bertrand devenu mou au château désespère
Une fée de passage aux savoirs de sorcière
Lui dit pour mille écus j’ai la solution
Je vais vous concocter la savante potion
Qui rendra votre humeur tant virile que guerrière
Le breuvage bizarre avait un drôle de goût
Mais il fallait oser le boire pour se guérir
Il en prit une dose apte à le faire périr
Puis son outil enfin se retrouva debout.
Mais de la dose ayant forcé le bon usage
Il gardait un aspect qui poussait à l’envie
Les dames alléchées s’en trouvèrent ravies
Leur passé leur ayant caché tel avantage
Gwendoline qui avait le feu à l’entresol
Fut d’un premier essai menée au paradis
Bertrand en dix leçons sans pause la ravit
La dame non discrète en tira gloriole.
Le bruit ayant couru de sa grande endurance
Une dame vorace ayant grand appétit
Et qui d’or et d’argent n’avait point de souci
Lui dit faites le moi jusqu’à l’extravagance
Vous aurez mon château et aussi ma fortune
Si me satisfaisant vous comblez mes désirs
Jouir plus de cent fois serait parfait plaisir
Votre virilité me parait opportune.
Bertrand qui de la dame appréciait les appas
Se mit donc au labeur avec délicatesse
Une à une il comptait ses actives prouesses
Il arrivait à cent mais elle dit non pas
Il me manque un orgasme avez vous bien compté
Madame je ne vais pas soudain douter de vous
Repartons du début je recompte avec vous
J’ai gardé en secours mille rigidités.
C’était dans le midi et malgré la chaleur
Ils allèrent jusqu’au bout de leur concupiscence
Comptant sans se tromper les sensuelles danses
Ils atteignirent cent évitant toute erreur
Ainsi se déroula cette ardente passion
Qui montra de Bertrand les satisfactions
Puis sur la Canebière vint cette tradition
De présenter les choses sans exagération .
C’est au cours d’un tournoi plaisir du moyen-âge
Que Bertrand Du Plessis pourfendeur de rival
Récolta un éclat qui sans être fatal
L’empêcha par la suite de se montrer volage !
Bien qu’il eut des envies il fut donc en jachère
Les dames auraient bien voulu quelques faveurs
Mais son engin ayant perdu de sa rigueur
Bertrand devenu mou au château désespère
Une fée de passage aux savoirs de sorcière
Lui dit pour mille écus j’ai la solution
Je vais vous concocter la savante potion
Qui rendra votre humeur tant virile que guerrière
Le breuvage bizarre avait un drôle de goût
Mais il fallait oser le boire pour se guérir
Il en prit une dose apte à le faire périr
Puis son outil enfin se retrouva debout.
Mais de la dose ayant forcé le bon usage
Il gardait un aspect qui poussait à l’envie
Les dames alléchées s’en trouvèrent ravies
Leur passé leur ayant caché tel avantage
Gwendoline qui avait le feu à l’entresol
Fut d’un premier essai menée au paradis
Bertrand en dix leçons sans pause la ravit
La dame non discrète en tira gloriole.
Le bruit ayant couru de sa grande endurance
Une dame vorace ayant grand appétit
Et qui d’or et d’argent n’avait point de souci
Lui dit faites le moi jusqu’à l’extravagance
Vous aurez mon château et aussi ma fortune
Si me satisfaisant vous comblez mes désirs
Jouir plus de cent fois serait parfait plaisir
Votre virilité me parait opportune.
Bertrand qui de la dame appréciait les appas
Se mit donc au labeur avec délicatesse
Une à une il comptait ses actives prouesses
Il arrivait à cent mais elle dit non pas
Il me manque un orgasme avez vous bien compté
Madame je ne vais pas soudain douter de vous
Repartons du début je recompte avec vous
J’ai gardé en secours mille rigidités.
C’était dans le midi et malgré la chaleur
Ils allèrent jusqu’au bout de leur concupiscence
Comptant sans se tromper les sensuelles danses
Ils atteignirent cent évitant toute erreur
Ainsi se déroula cette ardente passion
Qui montra de Bertrand les satisfactions
Puis sur la Canebière vint cette tradition
De présenter les choses sans exagération .