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Je survolais doucement la lande,
Aux parfums de thym et de lavande,
Dans ses habits de verts et de violet,
Qui me réveillait de vieilles pensées.
Tous ces merveilleux souvenirs,
Qui me faisait encore sourire,
C’était deux de mon enfance.
Rappelant ma si belle Provence.
Là ou elles aimaient striduler,
Pour mieux se faire remarquer,
Les cigales dérangeaient le silence,
Sous notre doux soleil de France
Une chaude odeur monte de la terre,
De fleurs , de foins et de mystères,
Car à quelques pas dans la fraîcheur,
Un ruisseau murmure à mon cœur.
Il titube à travers les pierres,
Impatient de connaître la mer,
D'abreuver les plus jolies fleurs,
Et poissons de toutes couleurs.
Une bourrasque m’emmène sur la colline,
Jusqu'en haut prés des ceps de vigne,
Mon cœur bat plus haut et fort,
Mon âme ne crains plus la mort.
Mon esprit s'exulte et s’enivre,
D'une immense joie de vivre,
D' amour absolu et de tendresse,
De sourires et douces caresses.
Aux parfums de thym et de lavande,
Dans ses habits de verts et de violet,
Qui me réveillait de vieilles pensées.
Tous ces merveilleux souvenirs,
Qui me faisait encore sourire,
C’était deux de mon enfance.
Rappelant ma si belle Provence.
Là ou elles aimaient striduler,
Pour mieux se faire remarquer,
Les cigales dérangeaient le silence,
Sous notre doux soleil de France
Une chaude odeur monte de la terre,
De fleurs , de foins et de mystères,
Car à quelques pas dans la fraîcheur,
Un ruisseau murmure à mon cœur.
Il titube à travers les pierres,
Impatient de connaître la mer,
D'abreuver les plus jolies fleurs,
Et poissons de toutes couleurs.
Une bourrasque m’emmène sur la colline,
Jusqu'en haut prés des ceps de vigne,
Mon cœur bat plus haut et fort,
Mon âme ne crains plus la mort.
Mon esprit s'exulte et s’enivre,
D'une immense joie de vivre,
D' amour absolu et de tendresse,
De sourires et douces caresses.
Ecni le 29/07/2019