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ESPOIR
Ténébreuse est la nuit, lorsque rien ne l’éclaire
Sous son sombre manteau, se cache la misère
Une vaste tristesse, un monde où tout est sourd
Où se cache le jour, où se trouve l’amour
Parfois, dans l’immensité sans fin, une étoile
Perce les ténèbres d’une lueur si pâle
Caressant ce monde d’un regard de velours
Où se cache le jour, où se trouve l’amour
Dans une pénible agonie, la nuit s’évince
Saignant à long flot, la rosée du petit jour
Sur ce champ de bataille, l’espoir reste bien mince
Où se cache le jour, où se trouve l’amour
Éos, enfin, perce le voile de la nuit
Poussant une chétive clarté devant lui
Qui repousse timidement l’ombre des cours
Voilà enfin le jour, où se trouve l’amour
Éole d’un souffle, repousse les nuages
Derniers alliés fidèles, du ténébreux mage
Dans le ciel quelques rayons, réchauffent les bourgs
Voilà enfin le jour, voilà bientôt l’amour
Rayons éclaireurs, portants sa vive bannière
En espérant réchauffer, les cœurs pour toujours
Hélios déverse tous ses torrents de lumière
Voilà enfin le jour, voilà enfin l’amour .
Ténébreuse est la nuit, lorsque rien ne l’éclaire
Sous son sombre manteau, se cache la misère
Une vaste tristesse, un monde où tout est sourd
Où se cache le jour, où se trouve l’amour
Parfois, dans l’immensité sans fin, une étoile
Perce les ténèbres d’une lueur si pâle
Caressant ce monde d’un regard de velours
Où se cache le jour, où se trouve l’amour
Dans une pénible agonie, la nuit s’évince
Saignant à long flot, la rosée du petit jour
Sur ce champ de bataille, l’espoir reste bien mince
Où se cache le jour, où se trouve l’amour
Éos, enfin, perce le voile de la nuit
Poussant une chétive clarté devant lui
Qui repousse timidement l’ombre des cours
Voilà enfin le jour, où se trouve l’amour
Éole d’un souffle, repousse les nuages
Derniers alliés fidèles, du ténébreux mage
Dans le ciel quelques rayons, réchauffent les bourgs
Voilà enfin le jour, voilà bientôt l’amour
Rayons éclaireurs, portants sa vive bannière
En espérant réchauffer, les cœurs pour toujours
Hélios déverse tous ses torrents de lumière
Voilà enfin le jour, voilà enfin l’amour .
