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Et si une simple méditation… etc.
" Un mal qui répand la terreur
mal que le ciel en sa fureur
inventa pour punir les hommes "
Nous a dit l’affable bonhomme
Était un avertissement
Que l’on oublia sottement !
" Un songe me devrais-je inquiéter d’un songe
Entretient en mon cœur un chagrin qui le ronge
Je l’évite partout, partout il me poursuit
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit "
Racine lui aussi avait bien deviné
Que le Covid viendrait nous faire un pied de nez.
Je crois au préventif et au masque pour tous
A la distanciation qui prudemment repousse
La bête malfaisante juchée sur son support
Qui saute dès qu’elle le peut d’un corps à l’autre corps
Mais je demande à tous d’étudier la chose
Un tout petit bouchon rebouchant une entaille
Pratiquée dans un masque pour passer une paille
Car on pourrait ainsi boire un coup ou bien deux
Sans quitter cet obstacle au mal pernicieux
Et le bouchon remis après l’imbibition
On ne pourrait mourir de déshydratation.
Avec modération la chose est entendue
Puisque la liberté est maintenant perdue.
Post-post scriptum
Un présent est prévu pour l’exquis inventeur
Qui viendra proposer le masque pour buveur
La S.E.V.F.E.* lui fera un cadeau
Une belle barrique d’un excellent château.
* Société pour l’expansion de la Viticulture Française Epanouie
" Un mal qui répand la terreur
mal que le ciel en sa fureur
inventa pour punir les hommes "
Nous a dit l’affable bonhomme
Était un avertissement
Que l’on oublia sottement !
" Un songe me devrais-je inquiéter d’un songe
Entretient en mon cœur un chagrin qui le ronge
Je l’évite partout, partout il me poursuit
C’était pendant l’horreur d’une profonde nuit "
Racine lui aussi avait bien deviné
Que le Covid viendrait nous faire un pied de nez.
J’étais donc à rêver ces lambeaux littéraires
Quand Hygie déclara nul ne s’y peut soustraire
Le Covid chers humains est très autoritaire
On est obéissant ou alors c’est le suaire.
Il est bien évident que la grande ignorance
Tracasse les humains trouble leur assurance
Mais on ne sait hélas presque rien d’un grand tout
Prétendre le contraire est l’illusion des fous
Donc s’en vint le Covid que nul ne pouvait voir
Sauf avec des engins pris aux laboratoires
Et étant inconnu le nain indélicat
Conduisait des humains de la vie au trépas
Aussitôt l’on s’agite le pouvoir politique
Voit le nabot viral venir lui faire la nique
Et comme gouverner parait-il c’est prévoir
On vit qu’en l’occasion il était dans le noir
Le préventif aurait sans doute été utile
Mais des masques hélas une gestion futile
Faisait qu’il en manquait au point que lâchement
On dit qu’il n’étaient pas un utile élément .
La marmite bouillant de façons inégales
Les choses devenaient secondaires ou fatales
Et les statisticiens engeance mensongère
Avaient à la télé des débats de mégères
Car les chiffres étant des laines contestables
On les peut tricoter pour les rendre aimables
Ou bien leur donner l’air d’une insalubre histoire
Si l’on veut apeurer quelque peu l’auditoire.
D’avis les plus divers sans base véritable
Les bouffeurs de micro d’ennui étaient capables
En se disant la peur est toujours un moyen
De fixer l’attention du bête citoyen
Et même les médecins qui auraient du soigner
Vinrent dans les studios sottement s’empoigner
Heureusement cachés dans leur laboratoires
Des homme valeureux gagnaient quelque savoir
Sur le virus malsain de plus imprévisible
Qui tirait sur l’humain son idéale cible
Mais chez les politiques des édits de folie
Rendaient les hôpitaux proches de l’embolie
Et sans rien contrôler leurs improvisations
Tuaient les libertés de toute la nation
Car il aurait fallu qu’une seule discipline
La liberté de tous doit être cristalline
Et les lois découpant de façon fragmentaire
Le peuple de chez nous ne pouvaient que déplaire
D’autant qu’on savait bien que masquer tout le monde
À l’entrée du virus saurait mettre la bonde.
Mais il fallait jouer aux grands génies qui pensent
Pour mieux dissimuler la banale ignorance
Et la "grouillomanie" reprenant le dessus
Des fatras politiques le peuple était déçu,
Les mots rien que des mots venait combler les ondes
Plus les cons sont nombreux plus ils dansent la ronde
Car aucun n’admettait que garder le silence
Est quand on ne sait pas preuve d’intelligence
Bref ! En sortirons nous est-ce un vœu de nature
Que d’effacer de terre un flot de créatures
Faut-il du port du masque faire une dictature
Et dire que prévenir est la seule mesure
Le soin qui peut guérir est encore à trouver
Laissons donc les chercheurs savamment le couver.
Pour calmer les gueulards qui sans cesse indisposent
Il faut couper le son , zapper sur autre chose.
Post scriptum :Quand Hygie déclara nul ne s’y peut soustraire
Le Covid chers humains est très autoritaire
On est obéissant ou alors c’est le suaire.
Il est bien évident que la grande ignorance
Tracasse les humains trouble leur assurance
Mais on ne sait hélas presque rien d’un grand tout
Prétendre le contraire est l’illusion des fous
Donc s’en vint le Covid que nul ne pouvait voir
Sauf avec des engins pris aux laboratoires
Et étant inconnu le nain indélicat
Conduisait des humains de la vie au trépas
Aussitôt l’on s’agite le pouvoir politique
Voit le nabot viral venir lui faire la nique
Et comme gouverner parait-il c’est prévoir
On vit qu’en l’occasion il était dans le noir
Le préventif aurait sans doute été utile
Mais des masques hélas une gestion futile
Faisait qu’il en manquait au point que lâchement
On dit qu’il n’étaient pas un utile élément .
La marmite bouillant de façons inégales
Les choses devenaient secondaires ou fatales
Et les statisticiens engeance mensongère
Avaient à la télé des débats de mégères
Car les chiffres étant des laines contestables
On les peut tricoter pour les rendre aimables
Ou bien leur donner l’air d’une insalubre histoire
Si l’on veut apeurer quelque peu l’auditoire.
D’avis les plus divers sans base véritable
Les bouffeurs de micro d’ennui étaient capables
En se disant la peur est toujours un moyen
De fixer l’attention du bête citoyen
Et même les médecins qui auraient du soigner
Vinrent dans les studios sottement s’empoigner
Heureusement cachés dans leur laboratoires
Des homme valeureux gagnaient quelque savoir
Sur le virus malsain de plus imprévisible
Qui tirait sur l’humain son idéale cible
Mais chez les politiques des édits de folie
Rendaient les hôpitaux proches de l’embolie
Et sans rien contrôler leurs improvisations
Tuaient les libertés de toute la nation
Car il aurait fallu qu’une seule discipline
La liberté de tous doit être cristalline
Et les lois découpant de façon fragmentaire
Le peuple de chez nous ne pouvaient que déplaire
D’autant qu’on savait bien que masquer tout le monde
À l’entrée du virus saurait mettre la bonde.
Mais il fallait jouer aux grands génies qui pensent
Pour mieux dissimuler la banale ignorance
Et la "grouillomanie" reprenant le dessus
Des fatras politiques le peuple était déçu,
Les mots rien que des mots venait combler les ondes
Plus les cons sont nombreux plus ils dansent la ronde
Car aucun n’admettait que garder le silence
Est quand on ne sait pas preuve d’intelligence
Bref ! En sortirons nous est-ce un vœu de nature
Que d’effacer de terre un flot de créatures
Faut-il du port du masque faire une dictature
Et dire que prévenir est la seule mesure
Le soin qui peut guérir est encore à trouver
Laissons donc les chercheurs savamment le couver.
Pour calmer les gueulards qui sans cesse indisposent
Il faut couper le son , zapper sur autre chose.
Je crois au préventif et au masque pour tous
A la distanciation qui prudemment repousse
La bête malfaisante juchée sur son support
Qui saute dès qu’elle le peut d’un corps à l’autre corps
Mais je demande à tous d’étudier la chose
Un tout petit bouchon rebouchant une entaille
Pratiquée dans un masque pour passer une paille
Car on pourrait ainsi boire un coup ou bien deux
Sans quitter cet obstacle au mal pernicieux
Et le bouchon remis après l’imbibition
On ne pourrait mourir de déshydratation.
Avec modération la chose est entendue
Puisque la liberté est maintenant perdue.
Post-post scriptum
Un présent est prévu pour l’exquis inventeur
Qui viendra proposer le masque pour buveur
La S.E.V.F.E.* lui fera un cadeau
Une belle barrique d’un excellent château.
* Société pour l’expansion de la Viticulture Française Epanouie
