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Je me balance de rires en rires pour ne plus penser,
Pour façonner mes jours ,mais c'est la nuit le martyre,
Éphemère cette joie ,je ne peu la laisser me quitter,
C'est d'être effacé qui m'a fait fuir,
Et toi tu sais,
Ce silence tant amer,
J'ai perdu ,
Tant de choses en moi qui ne pourront jamais plaires,
Et tes magnifiques notes je n'entend plus,
Et toi tu sais,
Mes flots sont orageux et mes rives sont innondés,
La prochaine pluie ne peu que les effacer,
Certe tu ne m'a pas vu m'échouer,
Ton bateau en était autant secoué,
Et toi tu sais,
Que mes yeux emplis de sable ne font que voir la vérité,
Poumons si pleins de chagrin que je n'ai la force de crier,
J'aurais voulu arracher tout les coeurs du monde,
Les cacher pour moi comme une égoïste immonde,
Et toi tu sais,
Que mon coeur est plus lourd que mon corps,
Qu'il bat a tout rompre pour combattre ma raison,
Mais la raison n'est pas mon fort,
Elle m'échappe, patientant d'être escorté à la maison,
Et toi tu sais ,
Tu sais que je suis ardente comme la braise ,
Trop brulante pour y déposer ses lèvres longtemps,
La langue trop vrai ,même si toujours mal a l'aise,
Et sans ta guidance ,je ne suis qu'un papier blanc,
Sans son encre ,un papier dénudé de sens,
Comment as tu pu m'oublier ,je n'ai jamais su?
Et toi.....tu sais
Pour façonner mes jours ,mais c'est la nuit le martyre,
Éphemère cette joie ,je ne peu la laisser me quitter,
C'est d'être effacé qui m'a fait fuir,
Et toi tu sais,
Ce silence tant amer,
J'ai perdu ,
Tant de choses en moi qui ne pourront jamais plaires,
Et tes magnifiques notes je n'entend plus,
Et toi tu sais,
Mes flots sont orageux et mes rives sont innondés,
La prochaine pluie ne peu que les effacer,
Certe tu ne m'a pas vu m'échouer,
Ton bateau en était autant secoué,
Et toi tu sais,
Que mes yeux emplis de sable ne font que voir la vérité,
Poumons si pleins de chagrin que je n'ai la force de crier,
J'aurais voulu arracher tout les coeurs du monde,
Les cacher pour moi comme une égoïste immonde,
Et toi tu sais,
Que mon coeur est plus lourd que mon corps,
Qu'il bat a tout rompre pour combattre ma raison,
Mais la raison n'est pas mon fort,
Elle m'échappe, patientant d'être escorté à la maison,
Et toi tu sais ,
Tu sais que je suis ardente comme la braise ,
Trop brulante pour y déposer ses lèvres longtemps,
La langue trop vrai ,même si toujours mal a l'aise,
Et sans ta guidance ,je ne suis qu'un papier blanc,
Sans son encre ,un papier dénudé de sens,
Comment as tu pu m'oublier ,je n'ai jamais su?
Et toi.....tu sais
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