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"Ne parle pas… Tu es par trop événement. Je regrette de t’avoir sous les yeux. Quand sers-tu simplement regret ému ? D’ici là, combien de femmes seras tu devenue ! Et devoir m’imaginer que je peux te voir, c’est un vieux pont où personne ne passe plus… C’est cela la vie. Les autres ont laissé tomber leurs rames. Les cohortes ne connaissent plus la discipline… Les cavaliers sont partis dans l’aube et le tintement des lances… Tes châteaux ont attendu de se retrouver désert Aucun vent n’a abandonné les hautes files d’arbres. Portiques inutiles, vaisselles de prix sous protection, signe avant coureurs de prophéties- tout cela appartient aux crépuscules prosternés au fond des temples et non à notre rencontre de maintenant , car il n’y a aucune raison pour qu’il existe des tilleuls jetant leurs ombre, à part tes doigts et leur geste tardif…
Des raisons sans nombre pour des territoires lointains. Traités composé par des vitraux de rois… Lys de tableaux religieux… Qui le cortège attend il ? L’aigle perdue, où l’a-t-on de nouveau hissé ?"
Des raisons sans nombre pour des territoires lointains. Traités composé par des vitraux de rois… Lys de tableaux religieux… Qui le cortège attend il ? L’aigle perdue, où l’a-t-on de nouveau hissé ?"