I 
		
				
			
		Hors ligne
		
	Couche moi nue sur la terre dure
je veux cette possibilité de me briser pour toi
que mes fêlures aux autres invisibles
te sautent aux yeux sans te faire peur
celles nées des frictions rugueuses
des jours et nuits mutilés
Mes mots
parfois
valent mieux
que moi
Je suis en ébauche constante
l'harmonie succède aux désordres
l'accompli cède aux égarements
Je suis comme le morceau de marbre
il contient depuis toujours
la ligne où naîtra sa cassure
A prendre ou à laisser
c'est ma fragilité
c'est le choeur de mes voix hésitantes
qui cherche asile dans ton regard caressant
	
		
	
	
		
		
	
	
		
			
		
		 
	
								je veux cette possibilité de me briser pour toi
que mes fêlures aux autres invisibles
te sautent aux yeux sans te faire peur
celles nées des frictions rugueuses
des jours et nuits mutilés
Mes mots
parfois
valent mieux
que moi
Je suis en ébauche constante
l'harmonie succède aux désordres
l'accompli cède aux égarements
Je suis comme le morceau de marbre
il contient depuis toujours
la ligne où naîtra sa cassure
A prendre ou à laisser
c'est ma fragilité
c'est le choeur de mes voix hésitantes
qui cherche asile dans ton regard caressant
 
				 
 
		 
 
		
 
 
		 
 
		 
 
		 
 
		 
 
		 
 
		 
 
		 
 
		 
 
		