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Au quatrième étage, d’un HLM pourri
Y vivait une femme, avec un abruti.
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai.
Il re’gardait tous les matches de foot et de tennis,
Et promenait son chien qui reniflait des pisses.
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai
Il cognait sur sa femme cet ancien adjudant,
Ah ! Oui, qu’elle était belle, même sans deux dents devant
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai
Elle m’a fait un sourire, coincés dans l’ascenseur,
Mes mains sur sa poitrine, j’ai réveillé son cœur
Il y’ a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai
Je n’avais que quinze ans quand elle m’a vacciné,
Une première idylle, premier amour d’été
Il y’ a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai
Un soir de Parc des Princes, il revint trop chargé,
D’un coup de carabine, il me l’a supprimée
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai
Je m’en suis pris au chien, à sa tronche et sa tire,
Avec des coups de batte j’ai effacé sa vie
Il y’ a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai,
Au quatrième étage d’un centre pour délinquants
Je revois son image, en serrant fort les dents.
Il y a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai.
Y vivait une femme, avec un abruti.
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai.
Il re’gardait tous les matches de foot et de tennis,
Et promenait son chien qui reniflait des pisses.
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai
Il cognait sur sa femme cet ancien adjudant,
Ah ! Oui, qu’elle était belle, même sans deux dents devant
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai
Elle m’a fait un sourire, coincés dans l’ascenseur,
Mes mains sur sa poitrine, j’ai réveillé son cœur
Il y’ a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai
Je n’avais que quinze ans quand elle m’a vacciné,
Une première idylle, premier amour d’été
Il y’ a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai
Un soir de Parc des Princes, il revint trop chargé,
D’un coup de carabine, il me l’a supprimée
Il y’ a longtemps que je l’aime jamais je ne l’oublierai
Je m’en suis pris au chien, à sa tronche et sa tire,
Avec des coups de batte j’ai effacé sa vie
Il y’ a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai,
Au quatrième étage d’un centre pour délinquants
Je revois son image, en serrant fort les dents.
Il y a longtemps que je l’aime, jamais je ne l’oublierai.