Hors ligne
HOMMAGE A MA FEMME
Le dimanche matin, la maison dort encore
Ton homme dans le lit, est toujours endormi
Il ne fait pas très chaud, un frisson tu frémis
Tu tires doucement, la couette sur ton corps
Pourtant tu te lèves, avançant lentement
Tu restes dans le noir, pour ne pas allumer
Te voilà maintenant, à la porte fermée
Passe dans le couloir, et ferme prudemment
Seule dans la cuisine, attendant le café
Tu ouvres la radio, écoute les infos
Tu penses à ta journée, au courage qu’ il faut
De ne plus être alors, dans les bras de Morphée
Six heures n’ a pas sonné, tu quittes la maison
Monte dans la voiture, pour partir travailler
Ces drôles de week-end, où il faut batailler
Quand les autres dorment, à tort ou à raison.
Le dimanche matin, la maison dort encore
Ton homme dans le lit, est toujours endormi
Il ne fait pas très chaud, un frisson tu frémis
Tu tires doucement, la couette sur ton corps
Pourtant tu te lèves, avançant lentement
Tu restes dans le noir, pour ne pas allumer
Te voilà maintenant, à la porte fermée
Passe dans le couloir, et ferme prudemment
Seule dans la cuisine, attendant le café
Tu ouvres la radio, écoute les infos
Tu penses à ta journée, au courage qu’ il faut
De ne plus être alors, dans les bras de Morphée
Six heures n’ a pas sonné, tu quittes la maison
Monte dans la voiture, pour partir travailler
Ces drôles de week-end, où il faut batailler
Quand les autres dorment, à tort ou à raison.