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Il est des jours où je me sens vide
Où le monde tourne sans que je guide
Perdu dans un brouillard de pensées
Cherchant un sens, une vérité.
Les heures défilent, lentes et pesantes
Le cœur en quête, l'esprit en attente
Les souvenirs me bercent de leur chant
Mais le présent semble absurde, déconcertant.
Pourtant, au creux de ce silence amer
Une étincelle, un éclat, une lumière
Un murmure doux qui me rappelle
Que même le vide porte en lui des merveilles.
Car la vie est faite de cycles et de flux
Des hauts, des bas, des chemins inconnus
Et dans chaque vide, un renouveau se cache
Comme après l'hiver, le printemps détache.
Alors j'embrasse ce vide, cet espace
Sachant qu'il prépare une nouvelle place
Pour des rêves, joies, et instants de grâce
Et qu'après la nuit, le jour toujours ressasse.
Les rires d’hier sont des échos lointains
Le présent s’étire en un morne refrain
Mais au fond de ce vide, une lueur persiste
Un espoir fragile, une force qui résiste
Alors je garde en moi cette vérité
Que les jours de vide ne sont pas éternités
Ils préparent l’âme à renaître plus grande
Comme l’arbre attend le printemps dans sa lande.
Fouzia El Mellah
Où le monde tourne sans que je guide
Perdu dans un brouillard de pensées
Cherchant un sens, une vérité.
Les heures défilent, lentes et pesantes
Le cœur en quête, l'esprit en attente
Les souvenirs me bercent de leur chant
Mais le présent semble absurde, déconcertant.
Pourtant, au creux de ce silence amer
Une étincelle, un éclat, une lumière
Un murmure doux qui me rappelle
Que même le vide porte en lui des merveilles.
Car la vie est faite de cycles et de flux
Des hauts, des bas, des chemins inconnus
Et dans chaque vide, un renouveau se cache
Comme après l'hiver, le printemps détache.
Alors j'embrasse ce vide, cet espace
Sachant qu'il prépare une nouvelle place
Pour des rêves, joies, et instants de grâce
Et qu'après la nuit, le jour toujours ressasse.
Les rires d’hier sont des échos lointains
Le présent s’étire en un morne refrain
Mais au fond de ce vide, une lueur persiste
Un espoir fragile, une force qui résiste
Alors je garde en moi cette vérité
Que les jours de vide ne sont pas éternités
Ils préparent l’âme à renaître plus grande
Comme l’arbre attend le printemps dans sa lande.
Fouzia El Mellah