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Il ne faut pas…
Je sais…Il ne faut pas…
Tu me connais à peine
Et je pose déjà mes yeux contre ta vie,
Sur ton cœur effaré de me savoir sans gêne,
Osant te dire tout bas ce qu’on ne peut trahir.
Bien sûr, il y a cet autre …
Tout un passé qui dort
Au creux de ton épaule et de vos joies d’amants.
Je voudrais «espérer », c’est un mot vide encore
Pour toi… Il est en moi caresse et battement.
Je songe… Il ne faut pas…
Mes nuits sont des soupirs
Coulant de tes cheveux, sur ton cou, sur tes lèvres.
La courbe de tes yeux fait le tour de mes rêves
Et je ne peux lutter…Comment ?…Il faut me dire !
Pourquoi faut-il cacher
La beauté d’un désir ?
L’enfant nous le réclame et sans jamais se taire,
Mais nous l’aimons ainsi – ô bien plus peut-être ! –
Que s’il voulait rester timide à nos sourires.
Je pleure… Il ne faut pas…
Un homme est toujours fort…
Tu crois ?.... Lorsque je pense à toi soir et matin
Dans cette solitude immense où tu te tiens
Sans cesse sur mes yeux, je me sens triste et mort !
Hélas, il ne faut pas…
Ton cœur n’était pas libre…
Et puis, j’aurai brûler les étapes – vieux fou ! –
Il faut prendre le temps de sortir, de séduire,
Ne pas être pressant pour ne pas faire fuir.
Il faut, il ne faut pas…
Mon cœur bat…
Et c’est tout…
Grans, 11 mai 2005
Je sais…Il ne faut pas…
Tu me connais à peine
Et je pose déjà mes yeux contre ta vie,
Sur ton cœur effaré de me savoir sans gêne,
Osant te dire tout bas ce qu’on ne peut trahir.
Bien sûr, il y a cet autre …
Tout un passé qui dort
Au creux de ton épaule et de vos joies d’amants.
Je voudrais «espérer », c’est un mot vide encore
Pour toi… Il est en moi caresse et battement.
Je songe… Il ne faut pas…
Mes nuits sont des soupirs
Coulant de tes cheveux, sur ton cou, sur tes lèvres.
La courbe de tes yeux fait le tour de mes rêves
Et je ne peux lutter…Comment ?…Il faut me dire !
Pourquoi faut-il cacher
La beauté d’un désir ?
L’enfant nous le réclame et sans jamais se taire,
Mais nous l’aimons ainsi – ô bien plus peut-être ! –
Que s’il voulait rester timide à nos sourires.
Je pleure… Il ne faut pas…
Un homme est toujours fort…
Tu crois ?.... Lorsque je pense à toi soir et matin
Dans cette solitude immense où tu te tiens
Sans cesse sur mes yeux, je me sens triste et mort !
Hélas, il ne faut pas…
Ton cœur n’était pas libre…
Et puis, j’aurai brûler les étapes – vieux fou ! –
Il faut prendre le temps de sortir, de séduire,
Ne pas être pressant pour ne pas faire fuir.
Il faut, il ne faut pas…
Mon cœur bat…
Et c’est tout…
Grans, 11 mai 2005