Hors ligne
Il n’est rien de plus doux…
Il n’est rien de plus doux qu’un monde qui sourit
A l’unisson, gaillard, repu des maux noyés.
Les grands cœurs en ponton sur les fleuves, piliers
Escortant tous les pas à la proue de la vie.
Il n’est rien de plus vrai que le miroir propice
Au grand chemin sans faille, un fanal en étoiles
Sémillantes, pour tous les beaux yeux et les voiles.
Pour un regard sans haine un seul reflet se lisse.
Il n’est rien de plus beau qu’une main qui se tend
Essuyant une larme, à condamner le vain ;
A cadence d’espoirs viennent les lendemains
Qui chantent pour la Terre et l’Amour qu’elle rend.
Il n’est rien de plus doux qu’un monde qui sourit
A l’unisson, gaillard, repu des maux noyés.
Les grands cœurs en ponton sur les fleuves, piliers
Escortant tous les pas à la proue de la vie.
Il n’est rien de plus vrai que le miroir propice
Au grand chemin sans faille, un fanal en étoiles
Sémillantes, pour tous les beaux yeux et les voiles.
Pour un regard sans haine un seul reflet se lisse.
Il n’est rien de plus beau qu’une main qui se tend
Essuyant une larme, à condamner le vain ;
A cadence d’espoirs viennent les lendemains
Qui chantent pour la Terre et l’Amour qu’elle rend.