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Insomnie mon Amour ....
Elle pèse les mots, n'affiche aucune rancune
Sur les eaux troubles, elle ose le pas
Au fond de son coeur, une nausée bariole l'estomac
Cette peur singulière est dans mon sein une lacune
Quand jaillit le temps et cette merveilleuse fleur
L'image d'un ballet de maux sur parquet s’aligne
Comme un vent frais qui joue entre les lettres et les lignes
Ô Dieu que ce bonheur délicat peut adoucir la douleur
Le regard fixé au large, je dessine son allure
Tout est encore flou, esclave de sa volupté
Elle est mon sang, mon corps, mon péché
Entre les clous d'un passage piéton sans armure
Serais-je là près d'elle de ce doux berceau?
Les yeux d'une maman ne trompe la vie
Elle tait ses doutes, elle s'accroche à l'envie
Comme ces joncs bercés entre vent et eau
Baiser son front de mon empreinte indélébile
Comme un élixir protecteur contre tempête et froid
Ce petit ange sommeille, il est ma bonne foi
Ma fille, le portique se ferme, le jeu en vient juvénile
Le clair obscur tourmente et fouette le soleil
A travers cette flamme à la forme des nues
Se dessine une utopie nous laissant inconnues
Plus je me torture, ce jour mord mes sommeils ...
LILASYS
Elle pèse les mots, n'affiche aucune rancune
Sur les eaux troubles, elle ose le pas
Au fond de son coeur, une nausée bariole l'estomac
Cette peur singulière est dans mon sein une lacune
Quand jaillit le temps et cette merveilleuse fleur
L'image d'un ballet de maux sur parquet s’aligne
Comme un vent frais qui joue entre les lettres et les lignes
Ô Dieu que ce bonheur délicat peut adoucir la douleur
Le regard fixé au large, je dessine son allure
Tout est encore flou, esclave de sa volupté
Elle est mon sang, mon corps, mon péché
Entre les clous d'un passage piéton sans armure
Serais-je là près d'elle de ce doux berceau?
Les yeux d'une maman ne trompe la vie
Elle tait ses doutes, elle s'accroche à l'envie
Comme ces joncs bercés entre vent et eau
Baiser son front de mon empreinte indélébile
Comme un élixir protecteur contre tempête et froid
Ce petit ange sommeille, il est ma bonne foi
Ma fille, le portique se ferme, le jeu en vient juvénile
Le clair obscur tourmente et fouette le soleil
A travers cette flamme à la forme des nues
Se dessine une utopie nous laissant inconnues
Plus je me torture, ce jour mord mes sommeils ...
LILASYS