Hors ligne
Inspiré par des rivages qui flottent, aux douces couleurs de mes pensées
La nuit m’invite aux caresses immortelles, imaginées et fantasmées
La douce écume sucrée des vagues inépuisables de nos baisers
De nos désirs sensuels, faisant naître notre profonde complicité
Aux lignes régulières, d’une écriture avec toute sa finesse
Lettres alignées et séparées par tous ces mots, sans jamais de tristesse
Comme un paragraphe la vie est ainsi, elle nous sépare amusement
Ne serait-ce qu’un instant, avec cet instrument virtuel qui est le temps
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes belles mains douces, qu'assurément je caresserais sans fin
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes lèvres, que j'aimerais avec tendresse embrasser enfin
Dans cette éternelle lumière, j’aime ce que tu es et ce que tu n’es pas
Toutefois, ce que tu n’es pas me fascine et ce que tu es te sublime
L’hiver donne naissance au printemps, la nuit elle au jour, et mon amour à toi
Voyageons sur cette terre Corse où les dunes donnent naissance à cette belle Elyme
Dansons, chantons, dans cet univers où les astres nous émerveillent et nous illuminent
Découvrons, prospectons, nos corps intimes dans ces nuits étoilées et divines
Suivre les courbes et les lignes de ton corps, comme une route du Vercors
Voyager sur les sentiments inondés de ta sensualité, encore et encore
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes belles mains douces, qu'assurément je caresserais sans fin
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes lèvres, que j'aimerais avec tendresse embrasser enfin
Sur mon cœur fragile j’ai placé ta main, comme un lever de soleil au matin
Dans cette cabane aux vents lointains, près de la rivière au petit chemin
Coule l’eau claire aux petits alvins, source de vie pour nos lendemains
Dans cette belle nature sans riverain, où les animaux sont nos seuls voisins
Le hurlement des loups dans la forêt des pins, jouxtant les champs de Lavandin
Dans une nature sculpter par Rodin, aux couleurs d'un tableau de Gauguin
Serions-nous les conservateurs de tous ces biens ?, serions-nous d’excellents gardiens ?
Protéger mère nature par tous les moyens, sur tous les continents et confins
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes belles mains douces, qu'assurément je caresserais sans fin
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes lèvres, que j'aimerais avec tendresse embrasser enfin
Des images qui coulent dans un sablier, j’ai offert ma vie au temps qui passait
Dans le miroir je me suis regardé, j’y ai vu l’âme reposée d’un beau reflet
Dans mes yeux brillant comme le soleil, tu étais devenue ma belle merveille
Dans mes rêves tu étais mon irréelle, dans mes écritures tu étais mon ciel
J’entends gronder dans cette montagne criminelle, un orage bien trop rebelle
Peux-tu arrêter cette tempête ma belle, de toutes mes pensées en querelles ?
Peux-tu m’apaiser avec tes mots d’aquarelles, car résonnent dans ma tête les décibels ?
Le temps qui passe dans cette horloge ponctuelle, fait battre mon cœur dans mon essentiel
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes belles mains douces, qu'assurément je caresserais sans fin
- La douceur insoupçonnée d'un amour au printemps qui ne dure qu'un instant
- Donne-moi tes lèvres, que j'aimerais avec tendresse embrasser enfin
03/2020
*´¨)
¸. •´¸. •´¨) ¸. •*¨)
(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY
Dernière édition: