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La nuit dernière, j’ai rêvé ma mort
J’ai vu le calibre dans sa main, l’index sur la gâchette
En plein jour, livide, un profond mal-être
La balle d’or a perforé mon dos
La blessure fut mortelle ; mon corps à terre
Mes vêtements sales, écarlates
Trou abyssale -Aie... qu’on m’abatte !
La carcasse était vide, mon âme m’avait quittée
Esseulée sur le goudron, une vielle charogne
Lasse ; Le silence grogne
Misère enfournée, dans une pierre doré
Dieu je n’ai pas su prier... – O que je m’en voulais !
Mon âme se débattait,
Entre l’éther et les ténèbres
Déchirement des vertèbres – pareil à l’humain
Quand il se tord pour du pain –
Odieuse ! Une mélodie sinistre envahissante
Si fine et si pesante… pris l’emprise de mon esprit
Attirante, morbide, comme une jolie fille
Morte, mon cœur battait
Mon âme vivante ! S’en allait...
J’ai vu le calibre dans sa main, l’index sur la gâchette
En plein jour, livide, un profond mal-être
La balle d’or a perforé mon dos
La blessure fut mortelle ; mon corps à terre
Mes vêtements sales, écarlates
Trou abyssale -Aie... qu’on m’abatte !
La carcasse était vide, mon âme m’avait quittée
Esseulée sur le goudron, une vielle charogne
Lasse ; Le silence grogne
Misère enfournée, dans une pierre doré
Dieu je n’ai pas su prier... – O que je m’en voulais !
Mon âme se débattait,
Entre l’éther et les ténèbres
Déchirement des vertèbres – pareil à l’humain
Quand il se tord pour du pain –
Odieuse ! Une mélodie sinistre envahissante
Si fine et si pesante… pris l’emprise de mon esprit
Attirante, morbide, comme une jolie fille
Morte, mon cœur battait
Mon âme vivante ! S’en allait...
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