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J’ASPIRE
Prendre dans mes bras, la femme que je désire,
Et dans un baiser, montrer ma tendre ardeur
En me dévêtant, d’une dérisoire pudeur,
Je cède aux transports de mon corps qui te désire.
Je trompe ma vertu, dans un dernier soupir,
Ne réclamant rien d’autre pour ce doux honneur,
Que de pouvoir enflammer, ton si noble cœur,
A rien d’autre en ce monde, mon être n’aspire.
Une douce langueur avive un sentiment
Qui n’est autre, que de devenir ton amant,
Même si pour ça, mon âme s’est consumée.
Mon cœur à ses raisons, que vous ne voyez pas,
Au plaisir de ma Reine, je vis ici-bas,
Car par elle, je n’exige qu’être aimé.
Mélancolie
19/10/2017
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