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Aucun homme lui disait suffisamment « je t’aime »,
Ces trois mots la livraient aux mains et aux caresses,
Ses yeux révulsés prenaient l’aspect des gemmes,
Ils provoquaient en elle les effets de l’ivresse.
Combien des plus charmeurs, s’étaient brisé les ailes,
Croyant aux seuls pouvoirs de leur corps d’Apollon,
Elle arrêtait leurs doigts, au - dessus d’ses dentelles
Se privant quelques fois des meilleurs étalons.
Un jour au bord d’un lac elle vit beau pagayeur,
Lui fit signe de la main, qu’il aborde le rivage,
Opportun le grand mâle, qui n’avait trouvé cœur,
Descendit de sa barque, comprenant le message.
La jeune femme se hâta de mettre l’homme à l’aise
Il la fixait sans cesse hésitant à parler,
Cupidon fit en sorte que tous les deux se plaisent,
Et leurs lèvres formèrent le plus tendre baiser.
Son cœur se mit à battre, le temps était venu
Pour lui, la première fois, d’exprimer son amour
Au premier des « je t’aime », elle en fut très émue
Son corps manifesta qu’il était l’bienvenu.
Elle qui aimait ces mots, elle fut plus que comblée,
Le brave homme était bègue, il ne s’arrêta plus.
Dieu l’avait, cette fois, avec zèle exaucée,
Elle jura un peu tard qu’on ne l’y re’prendrait plus .
Un divin pagayeur qui plus est bégayeur
Ce n’est pas très courant, c’est mieux qu’un sourd muet,
Pour une femme, dont le corps atteindra le bonheur
Non par l’expression des mains mais par celle du palais.
Depuis cette aventure, elle a changé d’avis,
N’attend plus les discours avant de se livrer,
Elle laisse ses élus, reprendre leurs esprits,
Conjuguer s’ils le sentent, à tous les temps, « aimer «.
Ces trois mots la livraient aux mains et aux caresses,
Ses yeux révulsés prenaient l’aspect des gemmes,
Ils provoquaient en elle les effets de l’ivresse.
Combien des plus charmeurs, s’étaient brisé les ailes,
Croyant aux seuls pouvoirs de leur corps d’Apollon,
Elle arrêtait leurs doigts, au - dessus d’ses dentelles
Se privant quelques fois des meilleurs étalons.
Un jour au bord d’un lac elle vit beau pagayeur,
Lui fit signe de la main, qu’il aborde le rivage,
Opportun le grand mâle, qui n’avait trouvé cœur,
Descendit de sa barque, comprenant le message.
La jeune femme se hâta de mettre l’homme à l’aise
Il la fixait sans cesse hésitant à parler,
Cupidon fit en sorte que tous les deux se plaisent,
Et leurs lèvres formèrent le plus tendre baiser.
Son cœur se mit à battre, le temps était venu
Pour lui, la première fois, d’exprimer son amour
Au premier des « je t’aime », elle en fut très émue
Son corps manifesta qu’il était l’bienvenu.
Elle qui aimait ces mots, elle fut plus que comblée,
Le brave homme était bègue, il ne s’arrêta plus.
Dieu l’avait, cette fois, avec zèle exaucée,
Elle jura un peu tard qu’on ne l’y re’prendrait plus .
Un divin pagayeur qui plus est bégayeur
Ce n’est pas très courant, c’est mieux qu’un sourd muet,
Pour une femme, dont le corps atteindra le bonheur
Non par l’expression des mains mais par celle du palais.
Depuis cette aventure, elle a changé d’avis,
N’attend plus les discours avant de se livrer,
Elle laisse ses élus, reprendre leurs esprits,
Conjuguer s’ils le sentent, à tous les temps, « aimer «.