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Aujourd'hui
Tout me semble triste tu es si loin de moi
Regardant le miroir la pâleur de mes traits
Oui, j'ai le cœur serré pour la première fois
Il n'est hélas! Plus temps à vouloir espérer
Alors! Tu pars, tu glisses et tu te laisse aller
Non, plus rien qui puisse même te soulager
La vie en toi a fuit, soudain a déserté
Loin du monde terrestre et sa banalité
Je reste là pour seul compagnon, mon chagrin
Regardant le miroir la pâleur de mes traits
Tout me semble si triste depuis que tu es loin
Je me languis de l'artiste, et
moments passés,
Je me souviens de nos joutes poétiques
De nos débats sur Baudelaire et Rimbaud
Des soirées à écrire au rythme de distiques
D'alexandrins, sonnets, villanelles, rondeaux
Je t'admirais, dans l'excellence de tes poèmes
Moi j'apprenais, sans jamais pouvoir t'égaler
Tu me disais mefie-toi du chant des sirènes
Continue travaille et tu sera récompensée.
.....................
Et je regarde pensive son secrétaire
sa plume posée devant une feuille blanche l'encrier vide....Plus un seul vers ne s'écrira.
Me voilà orpheline,
De celui qui me fit faire mes premiers pas
Tout me semble triste tu es si loin de moi
Regardant le miroir la pâleur de mes traits
Oui, j'ai le cœur serré pour la première fois
Il n'est hélas! Plus temps à vouloir espérer
Alors! Tu pars, tu glisses et tu te laisse aller
Non, plus rien qui puisse même te soulager
La vie en toi a fuit, soudain a déserté
Loin du monde terrestre et sa banalité
Je reste là pour seul compagnon, mon chagrin
Regardant le miroir la pâleur de mes traits
Tout me semble si triste depuis que tu es loin
Je me languis de l'artiste, et
moments passés,
Je me souviens de nos joutes poétiques
De nos débats sur Baudelaire et Rimbaud
Des soirées à écrire au rythme de distiques
D'alexandrins, sonnets, villanelles, rondeaux
Je t'admirais, dans l'excellence de tes poèmes
Moi j'apprenais, sans jamais pouvoir t'égaler
Tu me disais mefie-toi du chant des sirènes
Continue travaille et tu sera récompensée.
.....................
Et je regarde pensive son secrétaire
sa plume posée devant une feuille blanche l'encrier vide....Plus un seul vers ne s'écrira.
Me voilà orpheline,
De celui qui me fit faire mes premiers pas
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