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J’y crois encore
L’habitude s’est installée
et elle perdure au quotidien
ce qui jadis nous emballait
s’est réduit en peau de chagrin…..
J’en pleure des larmes amères,
notre amour s’est effiloché
au cours des années de galère,
qu’a deux nous avons affronté.
Persuadée que ta blessure,
est plus importante que la mienne.
Mon cœur supporte la morsure
des suppliques qui restent vaines….
À ta façon tu m’aimes encore,
mais ou est passé la passion?
tout ça me mine et me dévore
je n’arrive plus a faire front.
Pendant dix ans ce fut très dur,
tu as souffert, ça j’en conviens
regarde moi je t’en conjure!
a nouveau je te tends la main.
En vérité toutes ses épreuves
t’éloignent de ce qui t’entoure
je t’ai pourtant donné la preuve
que je croyais en notre amour.
Je ne suis que celle qui te sert,
pour la maison, devant les autres,
les doux élans, connus naguère,
dans l’indifférence se vautrent.
J’attends des câlins des caresses,
rassure moi je crains le pire ….
Car seule ton assiette t’intéresse,
essaie au moins de me sourire
Tu n’as jamais hésité pour
jeter sur moi ton dévolu ,
aime moi comme au premier jour,
rien n’est perdu, rien n’est «foutu»
Ne plonge pas dans cette horreur
qui fait de toi un égoïste,
ne voulant plus croire au bonheur
lève sur moi les yeux j’ existe……….
Vic 25 septembre 2020
L’habitude s’est installée
et elle perdure au quotidien
ce qui jadis nous emballait
s’est réduit en peau de chagrin…..
J’en pleure des larmes amères,
notre amour s’est effiloché
au cours des années de galère,
qu’a deux nous avons affronté.
Persuadée que ta blessure,
est plus importante que la mienne.
Mon cœur supporte la morsure
des suppliques qui restent vaines….
À ta façon tu m’aimes encore,
mais ou est passé la passion?
tout ça me mine et me dévore
je n’arrive plus a faire front.
Pendant dix ans ce fut très dur,
tu as souffert, ça j’en conviens
regarde moi je t’en conjure!
a nouveau je te tends la main.
En vérité toutes ses épreuves
t’éloignent de ce qui t’entoure
je t’ai pourtant donné la preuve
que je croyais en notre amour.
Je ne suis que celle qui te sert,
pour la maison, devant les autres,
les doux élans, connus naguère,
dans l’indifférence se vautrent.
J’attends des câlins des caresses,
rassure moi je crains le pire ….
Car seule ton assiette t’intéresse,
essaie au moins de me sourire
Tu n’as jamais hésité pour
jeter sur moi ton dévolu ,
aime moi comme au premier jour,
rien n’est perdu, rien n’est «foutu»
Ne plonge pas dans cette horreur
qui fait de toi un égoïste,
ne voulant plus croire au bonheur
lève sur moi les yeux j’ existe……….
Vic 25 septembre 2020