Hors ligne
C'était une bombe nucléaire
Pourtant elle n'en avait pas l'air
Cette épidémie venue d'ailleurs
A semé ici un grand malheur
Se protéger, n'est pas léger
Nous devons grandir et pas mourir
Respirer, pour encore se serrer
Nous allons souffrir, mais guérir
Tous confinés, tous enfermés
Vides de passants, pleines d’habitants
Rues désaffectées, maisons contaminées
Hôpitaux engorgés, médecins décédés
Nos âmes en peine, la force est humaine
Chaque matin sans haine, nous combattrons la quarantaine
Cette maladie virale, qui nous fait devenir pâle
Nos douleurs et nos râles, lui seront fatals
Touchés nos soignants et leur dévotion
Sans cesse se décontaminant, sans démission
Sont la résistance d’une autre époque, d’un autre temps
Combattre sans équivoque, jusqu’au firmament
Ne sachant plus dormir, ne sachant plus guérir
Voyant arriver le pire, dans l'attente de l'avenir
Nos malades nos blessés, restent dans une fatalité
Toujours avec l’espoir maîtrisé, d’une nouvelle destinée
Arrivera-t-il le médecin, le savant fou ?
Pour nous soigner, nous libérer
Celui qui de rien ou de tout, mais surtout
Arrivera à le mettre à genou ou le tuer
La force de l’Homme est son intelligence
Certaine fois mise à mauvais escient
Là, nous sommes dans l’urgence
Là, il faut bien en être conscient
Tu étais, tu es, tu resteras
Liberté, chérie, toi l’immortelle
Danse la vie sur les continents
Le jour, la nuit, jusqu’au firmament
Musique, rythme, tu sonneras
Respirer, l’air frais, nous les mortels
Que restera-il de nous après ?
Une planète, une île, immergée
Sauverons-nous la vie ?
Sauverons-nous le temps ?
Devrons-nous garder les yeux fermés ?
Ou, à la vie encore s’accrocher ?
03/2020
*´¨)
¸. •´¸. •´¨) ¸. •*¨)
(¸. •´ (¸. •´ (¸. •*´¯`*•> CHARLY
Pourtant elle n'en avait pas l'air
Cette épidémie venue d'ailleurs
A semé ici un grand malheur
Se protéger, n'est pas léger
Nous devons grandir et pas mourir
Respirer, pour encore se serrer
Nous allons souffrir, mais guérir
Tous confinés, tous enfermés
Vides de passants, pleines d’habitants
Rues désaffectées, maisons contaminées
Hôpitaux engorgés, médecins décédés
Nos âmes en peine, la force est humaine
Chaque matin sans haine, nous combattrons la quarantaine
Cette maladie virale, qui nous fait devenir pâle
Nos douleurs et nos râles, lui seront fatals
Touchés nos soignants et leur dévotion
Sans cesse se décontaminant, sans démission
Sont la résistance d’une autre époque, d’un autre temps
Combattre sans équivoque, jusqu’au firmament
Ne sachant plus dormir, ne sachant plus guérir
Voyant arriver le pire, dans l'attente de l'avenir
Nos malades nos blessés, restent dans une fatalité
Toujours avec l’espoir maîtrisé, d’une nouvelle destinée
Arrivera-t-il le médecin, le savant fou ?
Pour nous soigner, nous libérer
Celui qui de rien ou de tout, mais surtout
Arrivera à le mettre à genou ou le tuer
La force de l’Homme est son intelligence
Certaine fois mise à mauvais escient
Là, nous sommes dans l’urgence
Là, il faut bien en être conscient
Tu étais, tu es, tu resteras
Liberté, chérie, toi l’immortelle
Danse la vie sur les continents
Le jour, la nuit, jusqu’au firmament
Musique, rythme, tu sonneras
Respirer, l’air frais, nous les mortels
Que restera-il de nous après ?
Une planète, une île, immergée
Sauverons-nous la vie ?
Sauverons-nous le temps ?
Devrons-nous garder les yeux fermés ?
Ou, à la vie encore s’accrocher ?
03/2020
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