- Inscrit
- 7 Octobre 2018
- Messages
- 2,216
- J'aime
- 2,713
- Points
- 173
- Je suis
- Un homme
Hors ligne
Au fond de tout être vivant,
Sommeille un ténébreux volcan,
D'aucuns diront envoûté par Satan,
Qui éclate en sombre forban.
Libère toute ses colères,
Commence par une épaisse fumée noire,
Traverse la cheminée de la raison,
L'enveloppe de tous ses démons.
Eclate brusquement en colère,
Dans un énorme feu de guerre,
Pousse son flot de lave,
Se répand telle de la bave.
Le long des lèvres frémissantes,
Libère ces paroles indécentes,
Longtemps retenues prisonnières,
Attendaient qu’elles se libèrent.
S'en suivent une série d’indélicatesses,
Punissent l’offense, la maladresse,
Plongent un être dans la détresse,
Subir la soif vengeresse.
Son lot de réactions hâtives,
Conduit deux êtres à la dérive,
Atteignent le fond de la peine,
De ce conflit plein de haine.
Après, Il ne reste plus que les débris,
De deux cœurs meurtris,
L'un pour n'avoir pas écouté sa raison,
L’autre, d’avoir subi l'incompréhension.
Sommeille un ténébreux volcan,
D'aucuns diront envoûté par Satan,
Qui éclate en sombre forban.
Libère toute ses colères,
Commence par une épaisse fumée noire,
Traverse la cheminée de la raison,
L'enveloppe de tous ses démons.
Eclate brusquement en colère,
Dans un énorme feu de guerre,
Pousse son flot de lave,
Se répand telle de la bave.
Le long des lèvres frémissantes,
Libère ces paroles indécentes,
Longtemps retenues prisonnières,
Attendaient qu’elles se libèrent.
S'en suivent une série d’indélicatesses,
Punissent l’offense, la maladresse,
Plongent un être dans la détresse,
Subir la soif vengeresse.
Son lot de réactions hâtives,
Conduit deux êtres à la dérive,
Atteignent le fond de la peine,
De ce conflit plein de haine.
Après, Il ne reste plus que les débris,
De deux cœurs meurtris,
L'un pour n'avoir pas écouté sa raison,
L’autre, d’avoir subi l'incompréhension.